Véronique Ch. 03
Datte: 01/05/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bygophil72, Source: Literotica
... Doucement, ma belle, pour le moment tu es pieds et poings liés, et tu fais ce qu'on te dit, répondis-je sèchement. Pour ce soir, j'ai décidé de te donner du plaisir, alors profites-en! Ecarte les cuisses maintenant!
Elle me regardait avec un regard haineux, mais finit par écarter les jambes petit à petit.
Je m'agenouillai à ses pieds, et soulevant sa robe légère, plongeai mon visage dans son intimité! ma bouche trouva quasiment instinctivement le chemin de sa chatte, et je posai mes lèvres sur ses propres lèvres intimes, lui arrachant un cri de surprise. Ma langue s'activa immédiatement, titillant son clitoris, parcourant sa fente : je la sentais s'humidifier progressivement (avec ou contre son gré, je n'étais pas en mesure de le voir dans ma position), mais au fur et à mesure que je lui bouffais le minou, je l'entendais gémir progressivement de plus en plus fort. J'avais saisi ses fesses de mes deux mains, les malaxant, appréciant le grain de sa peau et la fermeté affriolante de son cul. Véronique venait maintenant à la rencontre de ma bouche, elle s'était décollée du mur, me donnant plus accès à son fessier, et je sentais son bassin onduler sous mes coups de langue. Ses halètements augmentaient, je la sentais proche de l'orgasme, j'en profitai pour accélérer le rythme et enfoncer la langue plus profondèment dans son vagin, jusqu'à ce qu'elle jouisse dans un grognement étouffé, me plaquant le visage entre ses cuisses, se raidissant de tout son corps sous la décharge ...
... de plaisir qui la submergea! je donnai encore deux ou trois coups de langue pour la forme, puis me relevai face à elle.
Elle avait les yeux fermés, la bouche entr-ouverte, appuyée lascivement contre le cabanon. Je remis un peu d'ordre dans sa robe, puis posai un doigt sur ses lèvres, et je fis mine de disparaître dans les bambous. Je m'arrêtai un peu plus loin pour l'observer. Elle réapparut de derrière le cabanon, essayant de se recoiffer un peu, et se dirigea à pas chancelants vers la maison, en restant hors de vue du salon. L'intermède avait duré une dizaine de minutes, je me demandais quelle excuse elle avait pu donner à Stéphane pour s'absenter en pleine préparation du repas. Revenant à mon point d'observation initial en haut du mur, je la vis revenir au salon, embrasser Stéphane, puis retourner en cuisine, sans doute pour terminer ce qu'elle avait commencé.
Quelques minutes plus tard, j'entendis le carillon du portail. Stéphane sortit accueillir ses invités. De ma position, je vis arriver un couple à peu près du même âge que Véronique et Stéphane, l'homme était plutôt maigrichon, pas très grand et assez austère, alors que sa femme était plutôt bien en chair, légèrement enrobée mais très opulente, avec une poitrine xxl bien mise en valeur. Ils étaient accompagnés de leur fils, et je compris rapidement les raisons de la tenue de l'aînée des filles, car elle se jeta dans ses bras : c'était donc son petit ami et ses parents. Visiblement les parents se connaissaient ...