1. Nostalgie


    Datte: 27/02/2018, Catégories: fhh, hbi, couplus, hotel, Oral pénétratio, hsodo, amourdram, couple+h, Auteur: Pradel, Source: Revebebe

    La nuit avait bien commencé. Élise, toujours très sensuelle, avait caressé longuement nos verges. Nous embrassions sa bouche, ses seins.
    
    Je passai ensuite sous la couette pour déguster son sexe trempé. Élise, rousse, avait cette odeur, ce goût particuliers qui régalent les connaisseurs. Elle mouillait beaucoup. La déguster était à coup sûr se retrouver le visage baigné d’un suc délicieux. La première fois, elle s’était excusée. Je l’avais rassurée :
    
    — J’adore ta vulve bien trempée.
    
    Nous étions amants depuis quelques mois. Son mari, pas jaloux, laissait sa femme vivre sa vie. De son côté, il avait une maîtresse chez laquelle il passait certaines nuits.
    
    Un soir où je la raccompagnais après une soirée au cinéma, elle m’invita à entrer, m’offrit un verre, monta dans la maison. Redescendant, elle dit :
    
    — Viens, Pierre nous attend.
    
    Ma gorge se noua, je la suivis. J’avais déjà fait l’amour à plusieurs, mais je sentais que cette relation avec Élise et Pierre ne serait pas le fruit d’une soirée arrosée, plutôt un trio délibéré, important, qui devait correspondre à nos fantasmes les plus intimes. J’avais dit à plusieurs reprises à mon amie qu’il faudrait plusieurs hommes ensemble pour la satisfaire. Elle m’avait toujours répondu en souriant :
    
    — Oui, probablement.
    
    Quand nous arrivâmes dans la chambre, son mari lisait. Nous nous mîmes nus, je glissai avec elle dans le lit. Pierre mit la veilleuse. Elle se montra parfaite, ardente et passionnée. Je les quittais ...
    ... tard dans la nuit, épuisé et heureux.
    
    Dans les semaines qui suivirent, je revis Élise plusieurs fois. Nous ne parlions pas de cette nuit. Quelque temps après, elle me proposa :
    
    — Il y a à Bruxelles une expo que nous aimerions voir, Pierre propose que tu viennes avec nous, je trouve l’idée excellente. On part deux jours.
    
    L’invitation était claire, ma présence dans l’intimité leur plaisait.
    
    Nous avions des réservations pour l’exposition le dimanche. Le samedi, nous avons visité Bruges. Qui aurait pu dire qui était le mari ? Élise nous serrait l’un ou l’autre, une liberté, un bonheur parfaits.
    
    Arrivés dans la chambre à deux lits, nous profitons de la salle de bain, écrivons quelques cartes postales. Élise, nue, met du vernis sur ses orteils. Nous nous régalons des poses qu’elle prend, elle offre à nos yeux le corail de sa vulve. Je m’approche, lui caresse le dos, ma verge se redresse. Elle finit ses peintures et m’offre ses lèvres, puis me suce. Pierre vient caresser ses seins un peu lourds.
    
    Sa vulve est humide, j’ai envie d’elle, j’embrasse longuement ses lèvres, ses seins, sa vulve et la prends, pour la première fois devant son mari, en pleine lumière. Sa présence, loin de me gêner, m’excite. Une armoire à glace renvoie aussi notre image, j’aime le spectacle érotique que nous donnons. Élise, à son habitude, pousse des petites plaintes, jouit plusieurs fois. Pierre, venu près de nous, caresse ses seins, ses fesses. Il bande. Je me retire et lui propose :
    
    — ...
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