Souvenirs d'un queutard (4)
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: celestin999, Source: Xstory
... écartées, je fouillais délicatement les replis de sa vulve, glissant mon index et mon majeur dans son vagin, je la doigtais du pouce faisant monter son envie de me sentir venir en elle, que :
— Aujourd’hui faudra que j’aille me laver après, sinon je risque de tomber enceinte.
Elle me sortait ça de façon naturelle, le plus important pour elle était de se faire fourrer, de jouir, de se faire rincer et remplir la chatte de ma semence, et ensuite de penser aux éventuelles conséquences. Décidément la logique féminine et moi ça fera toujours deux.
Alors que je sentais mon plaisir venir pour la 1ere fois, j’émettais l’idée (tout à fait fausse) qu’il serait peut-être mieux que je me retienne ou me retire au moment où je me sentirai sur le point d’éjaculer, qu’elle me prenne en bouche pour me faire jouir. La réponse fut cinglante :
— Reste, enfonce-toi !
Après avoir fait l’amour par trois fois je suggérais à Pascale d’aller prendre une douche et de se faire une toilette très intime,
— Oui quand je rentrerai à la maison
De façon tout à fait idiote nous nous sommes pris la tête un jour, et avons cessé de nous voir. La copine de Pascale passa à l’agence me disant qu’elle était malheureuse et voulait me revoir. Chose dite, chose faite, nous nous sommes retrouvés chez sa copine un jour à midi. La copine voulant nous voir rabibochés nous poussa dans une de ses chambres pour que l’on renoue. Allongée sur le lit Pascale fit glisser sa culotte, remonta sa robe juste ...
... au-dessus de sa chatte, ne laissant voir que son triangle de fourrure. Elle n’était pas du genre à exhiber sa nudité, mais de m’offrir si peu me parut bizarre. Je fis comme elle, ne retirant que mon pantalon, le sexe bien dressé. Contre elle, les yeux dans les yeux je caressais l’intérieur de ses cuisses remontant lentement. J’arrivais entre les bords de sa fente, Pascale était trempée, elle mouillait toujours autant, sa vulve était gluante. Sous la caresse elle gémissait doucement les yeux fermés.
Prolongeant ma caresse je passais sous sa robe, stupéfaction, je trouvais un ventre relativement arrondi. Pascale ouvrit les yeux me faisant oui de la tête.
— Qui ?
— Devine !
Pascale était enceinte d’au moins trois mois, j’étais sûr que cela datait de la fois où elle n’avait pas voulu se faire une toilette intime au motel et qu’elle ne l’avait pas faite non plus en rentrant chez elle.
Nous avons fait l’amour, mais entre nous il y avait quelque chose de cassé. Quelques mois plus tard sa copine passa à l’agence me donnant un bout de papier avec un numéro de téléphone.
— Appelle, c’est la clinique
Une fois la copine de Pascale partie, un peu perturbé j’appelai ladite clinique. C’était une maternité, je suis tombé directement à la chambre de Pascale ; elle venait d’accoucher d’une petite fille.
La conversation fut brève, Pascale éclata en sanglots :
— T’as pas compris que je t’aime !
Et elle raccrocha.
J’ai revu Pascale plus d’un an après, elle m’apprit que ...