1. Un coucou dans la Suite Nuptiale (2)


    Datte: 27/02/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Alix, Source: Xstory

    Auteur : Alix - janvier 2018
    
    Abasourdi, je suspendis mes coups de reins. J’avais dû mal doser son cocktail ou elle était insensible aux drogues. J’allais filer comme un rat pour ne pas être reconnu, quand elle reprit, en chuchotant.
    
    — Je ne dirai rien à personne, vous savez.
    
    — Pourquoi ne m’avez-vous pas repoussé ?
    
    — Je dormais à moitié et je croyais que c’était un rêve. Ce sont vos mains chaudes sur mes seins qui m’ont fait comprendre. Mon mari a toujours les mains froides. Et puis, il ne sait pas où est mon petit bouton. Vous étiez si doux que j’ai compris que vous ne veniez pas pour me faire du mal.
    
    — Vous saviez que je n’étais pas votre mari et vous m’avez laissé faire, coquine.
    
    — C’était si bon et j’en avais tellement envie. Vous pouvez finir si vous voulez. J’aime bien !
    
    Je l’embrassais sur la bouche. Ses lèvres étaient chaudes. Elle répondit avec ardeur. Je la baisais. C’était différent, bien sûr, mais son vagin était toujours aussi doux et chaud.
    
    — Oooh ! Que c’est bon !
    
    Elle me saisit les fesses et ouvrit les cuisses tant qu’elle put. Je la baisais bien profond et quand elle recommença à gémir, je me montrais plus brutal, comme pour la punir de m’avoir fait peur. Elle jouit comme une folle. Au moment, où j’allais me retirer, puisqu’elle savait, elle me retint dans ses bras.
    
    — Reste ! Je veux un bébé de toi. Tu es si fort !
    
    Je remplis sa chatte de mon foutre sans retenir mes grognements de plaisir.
    
    Jusqu’à la fin de son court ...
    ... séjour, elle observa avec attention le personnel masculin, surtout celui qui s’occupait des animations sportives. Elle cherchait à donner un visage et un corps au papa de son futur enfant.
    
    J’étais rassuré, mais cela me fit redoubler de prudence.
    
    La petite asiatique qui s’approchait les yeux baissés, un peu en arrière de son mari, me fascina. Elle avait l’air d’une adolescente. J’évitais les jeunes femmes exotiques, car leurs visages sont plus difficiles à déchiffrer. La vue de cette beauté me convainquit d’envisager une exception à cette règle.
    
    Le soir prévu, je débarquais le benêt du lit et pris sa place. Le petit corps souple répondit avec fougue à mes caresses. Je pris la jeune femme comme elle aimait, en levrette. Elle se cambra et eut un orgasme convulsif puis s’effondra en tremblant. Je me vidais les couilles avec délices dans la petite chatte serrée qui palpitait autour de ma bite.
    
    L’après-midi suivant, mon regard fut attiré sur l’écran par un mouvement dans le salon du bungalow de ma dernière victime. Elle venait d’entrer le sourire aux lèvres. Elle posa sa raquette et sa serviette sur le canapé et enleva son haut. Je me concentrais sur l’écran. J’aimais bien ses petits seins en poire et ses tétons remarquablement pointus.
    
    C’est alors qu’apparut sur l’écran l’un des animateurs sportifs, Jo, un noir bien bâti, au rire facile. Je fus surpris de le voir là. J’avais interdit aux personnels, hommes et femmes, de flirter avec les clients pendant la durée de leur ...
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