Essayages en tous genres
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
fh,
ff,
grosseins,
magasin,
essayage,
intermast,
Oral
Humour
fantastiq,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
Résumé de l’épisode 1 : une étrange théière est tombée dans mon jardin ; il s’est avéré qu’elle renfermait un génie, nommé Bazouk. D’abord bluffé, je me suis vite aperçu que c’était plus une plaie qu’un cadeau du ciel. Il est tout de même parvenu, après d’innombrables efforts, à me "créer" deux magnifiques jeunes femmes, physiquement absolument sublimes, Azura et Pandore. Le problème, maintenant, c’est que Bazouk ne veut pas satisfaire à tous mes souhaits, et surtout, ne veut plus rentrer dans sa théière.
Résumé de l’épisode 2 : après de nombreux essais, Bazouk est parvenu à me réaliser la voiture de mes rêves, un superbe coupé sport quatre portes noir. Mais j’ai dû me résoudre à ne pas aller travailler, car mon stupide génie ne veut pas me lâcher d’une semelle. Au moment où nous allions sortir en ville, Azura, Pandore, Bazouk et moi, trois policiers se sont pointés, alertés par ma vieille voisine à qui nous avions fait quelques misères. Grâce à l’aide de Bazouk, nous sommes toutefois parvenus à nous débarrasser d’eux en les laissant assis à ma table de jardin, endormis par un sort de mon puissant mage. Nous avons enfin pu partir tous les quatre à bord de la voiture de sport, afin d’aller en ville trouver de quoi vêtir décemment Pandore et Azura (Bazouk s’étant montré ridicule lors de sa tentative de confectionner le moindre bout de tissu).
Résumé de l’épisode 3 : Pour égayer notre trajet, Bazouk s’est mis en tête de nous fabriquer une sorte d’horrible instrument de ...
... musique parfaitement répugnant, vaguement parent d’une mandoline et confectionné de peaux de bêtes séchées. Mais Pandore, qui supportait déjà mal ma conduite sportive, n’a pas résisté à la vision abjecte de la «bazoukoline» et s’est mise à vomir dans tous les sens. En voulant nettoyer et réparer ses bêtises, Bazouk a stupidement fait disparaître la magnifique voiture. Dans un accès de colère, je lui ai tapé dessus avec son instrument et ça l’a curieusement fait disparaître au fin fond de sa théière. Ne voulant plus avoir affaire à lui, j’ai préféré que nous fassions du stop pour rejoindre la ville.
À présent, il allait falloir faire face à un autre problème : les regards pesants des gens. Certains contemplaient avec intérêt mes deux compagnes, d’autres avec réprobation, d’autres encore s’extasiaient ouvertement, quelques-uns s’attardaient sur la bazoukoline ; mais nous ne laissions personne indifférent.
Je commençai par m’arrêter dans une boulangerie où je nous achetais une bouteille de flotte ainsi que cinq ou six sandwiches, surtout pour la pauvre Pandore, toujours à jeun après son dégueulis de tout à l’heure. Puis je traînai les filles jusqu’à un petit supermarché où je savais que nous trouverions des fringues et que nous n’aurions de compte à rendre à personne.
Mais j’avais été présomptueux : un vigile gigantesque nous arrêta à l’entrée du magasin et nous demanda d’une voix de ferry-boat si nous comptions sincèrement entrer comme ça. Je bobardais que mes deux amies ...