Un homme dominateur 6/6
Datte: 30/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Chaud comme la braise, Source: Hds
... de croisière. Trois grosses queues, trois mastodontes sont ancrés dans les orifices de Sandrine. C'est le bouquet final pour elle. Ils la défonce littéralement. Je n'ai pas d'autre phrase pour décrire ce que je vois. Il la défonce littéralement. J’en ai presque mal pour elle. Mais elle éclate en jouissance. Véritable femme fontaine, la cyprine coule à flot, comme si elle pissait. Elle prend un pied d’enfer. J'adore, même si je sais que je ne pourrais jamais lui offrir une telle jouissance. J'en viens à me dire que si Paul est d’accord de me libérer de cette cage, je suis prêt à prolonger notre contrat. Je sors de met pensées lorsque celui qui est dans la chatte, se retire. Toujours accroupi, il se place au-dessus du visage de ma femme pour jouir plusieurs jets puissants de sperme épais, bien blanc. Le deuxième gars se répand directement dans l'anus de ma chérie et Paul, comme à son habitude, se vide dans la gorge de Sandrine, ne lui laissant pas d'autre choix, que d'avaler sa semence.
J’ai les bras engourdis, de les avoir en l'air, attachés depuis aussi longtemps. La salle se vide petit à petit. Une fois le dernier homme parti, une des deux jeune femme emmène Sandrine hors de la pièce. La deuxième femme viens me détacher et m’emmène dans une chambre à coucher. Elle me laisse seul, sans nouvelle de Sandrine. Où est-elle ? Que fait-elle ? Je n'en sais rien du tout. Mes affaires sont là. Je jette un œil à mon téléphone. Il est déjà quatre heures trente. La soirée à durée ...
... quasiment toute la nuit. J'en reviens pas. Ou est Sandrine ? Je n’arriverait pas à dormir si elle n’est pas là. Il y a une salle de bain dans cette chambre. Je décide de prendre une douche froide, pour me calmer et baisser mon excitation. Lorsque je reviens dans la chambre, elle n'est toujours pas là. L'envie me brûle de partir à sa recherche. Je regarde l'heure. Cinq heures moins dix. Aller, à cinq heures, je vais la chercher. Mais pas besoin de partir en expédition dans toute la maison, une des jeunes femmes ouvre la porte et invite Sandrine à entrer. Elle est en peignoir, douchée et paraît épuisée. Je la prend dans mes bras et l'embrasse sur les lèvres. Elle me dit qu'elle veut dormir, ce que je comprends parfaitement. On se couche, mais avant qu'elle ne sombre dans le sommeil, je lui demande si elle veut toujours prolonger le contrat après une soirée comme ça. Elle me répond juste : - J'en ai vraiment très envie. A demain mon chéri.
Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit. Le lendemain, le chauffeur de monsieur nous a ramené chez nous, après un copieux petit déjeuner. On a discuté avec ma femme, elle m'a avoué prendre beaucoup de plaisir, d'être traité comme ça par Paul. Je sais très bien que je ne pourrais jamais lui offrir la même chose. Le soir, nous n’avons reçu ni colis, ni message. Mais Paul est bien passé nous voir. A vingt heures, il a sonné à la porte. C'est moi qui lui ai ouvert. Il m'a demandé un whisky et a rejoint Sandrine. Lorsque je suis arrivé dans le salon, ...