1. Doctorante (2)


    Datte: 29/04/2019, Catégories: Hétéro Auteur: bbrue, Source: Xstory

    J’ai pris note d’un commentaire qui disait que le chapitre précédent était trop court, alors je vais essayer de rallonger la sauce...
    
    Malik était entré dans les toilettes en prenant soin de bien refermer et verrouiller la porte. Il me prit dans ses bras et commença à m’embrasser partout : le cou, les cheveux. Il caressait doucement mes épaules, mais n’entreprenait rien. Il fallait le rappeler à l’ordre:
    
    — Rappelle-toi : pas d’amour, mais seulement du sexe, de la baise, alors bourre-moi !
    
    Il ne lui en fallut pas plus pour se ressaisir. Il attrapa vigoureusement ma taille pour me soulever et m’asseoir au niveau du lavabo. Il était déjà en caleçon, il le baissa et laissa apparaître un beau chibre, bien long, bien épais, mais surtout bien dur. Si j’avais pu, je me serais agenouillée devant lui, je l’aurais pris en bouche et je l’aurais sucé jusqu’à ce qu’il me donne tout son jus. Mais pour l’heure, le temps était compté, je ne voulais pas qu’on se fasse choper... Je lui tendis la capote qu’il enfila en me regardant pendant que je jouais avec mes seins que j’avais sortis de mon soutien-gorge pour l’exciter.
    
    Il avait les dents serrées par l’envie de me baiser, je l’entendais murmurer : "petite pute, tu vas voir ce que tu vas prendre". Ce qui aurait pu passer pour des menaces pour certaines sonnait comme des promesses à mon oreille. Je voulais le sentir en moi, le sentir me prendre, le sentir gicler au fond de ma chatte rendue brûlante par le désir.
    
    Une fois la ...
    ... capote installée, Malik s’avança entre mes cuisses largement ouvertes pour l’accueillir dans mon puits de désir, aussi largement que ma jupe le permettait. Il porta la main à sa bouche et cracha dessus avant d’enduire sa bite de salive. Il la saisit et s’enfonça d’un coup, d’un seul, en moi. Il m’arracha un cri et s’empressa de me fourrer sa langue dans la bouche pour me faire taire. On allait nous entendre. Mais putain que c’était bon, après trois semaines de privation, enfin on me nourrissait ! J’étais affamée, j’avais prié, j’avais été entendue.
    
    Malik installa ses deux mains en bas de mon dos et commença à me donner des coups de boutoir. Ainsi, il limitait mes mouvements de recul sur le lavabo et assurait l’efficacité de sa baise.
    
    Il arrêta de m’embrasser, commença à me regarder et à me parler:
    
    — Alors ma cochonne, elle est bonne ma machette d’amour ? Tu aimes ce que je te fais ? Montre-moi comme tu aimes !
    
    Je ne pouvais pas lui répondre, je suffoquais presque avec le plaisir. Si j’avais pu parler, voilà ce qu’il aurait entendu:
    
    — Baise-moi ! Baise-moi mon salop ! Plus fort ! Plus fort !
    
    Mais je n’arrivais qu’à dire "Continue ! Continue ! ".
    
    Je gémissais, je geignais de plus en plus fort. Le bruit des réacteurs me couvrait. De son côté, Malik grognait de plus en plus, comme un animal. Mais c’est ce que j’aime dans le sexe : lorsque cela devient bestial, lorsqu’on ne peut s’empêcher de mordre l’autre au moment de l’orgasme, quand on a envie de lui enfoncer ...
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