1. Aire de stationnement


    Datte: 29/04/2019, Catégories: fh, fhhh, couplus, inconnu, campagne, parking, facial, Oral préservati, double, Partouze / Groupe init, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... retourner danser.
    
    Maintenant, les postures sont plus lascives et les corps serrés dans une chorégraphie simpliste et sensuelle. Le compagnon de ma cavalière est déjà en plein trip avec une autre qui le lui rend bien. En un instant ils se retrouvent en sous-vêtements, ce qui permet d’admirer la plastique potelée mais ô combien érotique de la femme que des bouts de dentelle mettent en valeur. De mon côté, je suis toujours en train d’explorer de mes mains le corps de ma cavalière qui ne se prive pas de glisser la sienne dans mon pantalon pour vérifier la présence d’un corps dur.
    
    Le partenaire de Dominique, compagnon de la « belle potelée déjà en mains », en est déjà à dégrafer son chemisier. Elle se laisse faire, mais semble passive, les mains sur les épaules, comme pour un slow classique. Je la quitte des yeux pour moi aussi aider ma partenaire à enlever le haut, et elle me révèle sa poitrine sans soutien-gorge. Je ne résiste pas au plaisir de me pencher pour la couvrir de baisers fougueux allant jusqu’à pincer ses mamelons entre mes lèvres. La belle s’abandonne et me remercie par de charmants petits soupirs très prometteurs pour la suite de la soirée.
    
    Je reviens pour constater que ma femme – qui me tourne le dos – s’est maintenant mise à l’unisson en se montrant en soutien-gorge. Je devine aussi que l’homme s’occupe maintenant de la jupe ou qu’il la caresse plus bas, car ses mains ne sont plus visibles. J’entraîne ma partenaire car je veux partager cet instant ...
    ... mémorable avec Dominique en la regardant dans les yeux.
    
    Mais c’est une Dominique crispée, des larmes aux yeux que je découvre, bien loin de ce que je pensais trouver. Son regard semble m’appeler à son secours, bien qu’elle esquisse un sourire contraint. Je me rapproche d’elle et lui demande doucement :
    
    — Ça va ?
    — Oui, oui, ça va.
    
    C’est ce qu’elle me répond, mais d’une voix qui hurle le contraire.
    
    Alors j’abandonne ma partenaire pour prendre ma femme dans mes bras. S’ils sont surpris, l’expression de Dominique leur fait comprendre qu’elle n’est pas prête. Je la guide dans notre chambre et lorsque je vais récupérer son chemisier, nos amis d’un soir ont le tact de refuser mes excuses par un « Ce n’est rien ; prenez bien soin d’elle ».
    
    Dans la chambre, Dominique m’invite à retourner avec eux :
    
    — Ce n’est pas parce que je ne peux pas que toi, tu dois te priver… Mais je reste. Lentement, elle se calme. Et alors que nous entendons des cris de jouissance au bord de la piscine, je lui fais l’amour doucement dans la pénombre de notre chambre.
    
    Plus tard dans la nuit, après avoir parlé, nous faisons le point et constatons que nous ne sommes pas prêts pour des échanges en pleine lumière, et que sur l’autoroute c’était la spontanéité et la pénombre qui avaient rendu possible notre aventure. Enfin, quand je dis « nous », je veux dire Dominique surtout. Moi, j’étais bien entré dans le jeu ; mais nous sommes un couple et les deux doivent être en phase.
    
    Comme ma femme se ...
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