1. Aire de stationnement


    Datte: 29/04/2019, Catégories: fh, fhhh, couplus, inconnu, campagne, parking, facial, Oral préservati, double, Partouze / Groupe init, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... moins nous nous en approchons. Cette idée aussi participe à mon excitation. J’abandonne maintenant la baise retenue pour laisser place à plus de fougue, plus de sexe brutal, possessif, voire violent. Ma queue glisse si facilement dans ce conduit humide que le silence de la nuit nous laisse entendre le doux clapotis saccadé par le choc de mon ventre contre les fesses.
    
    Avez-vous la chance d’avoir une compagne, une épouse, une maîtresse qui sait se lâcher dans l’amour et qui exprime son plaisir ? Oui ? Alors vous êtes des amants heureux, comme moi je le suis avec Dominique. Elle gémit, parle, souffle, marmonne des paroles incompréhensibles mais qui sont si douces à mon oreille.
    
    L’homme non plus n’est pas sourd. Imperceptiblement, il s’est déplacé. Maintenant, il est au niveau de ma femme, si près que si elle tendait le bras elle pourrait presque le toucher. Je ne sais pas si la vision de cette queue l’inquiète ou la séduit, mais il me semble bien qu’elle ne la quitte pas des yeux. Moi non plus d’ailleurs. Il se branle maintenant nettement plus vite. Je bourre ma bien-aimée d’une trique d’enfer que je sens gonfler encore.
    
    — Oui ! Continue. Encore. C’est bon, c’est…
    
    Ma femme parle toujours. Mais à qui ses paroles s’adressent-elles ? Dit-elle « C’est bon » ou « C’est beau » ? Est-ce moi qu’elle encourage ? Est-ce l’homme qu’elle complimente ?
    
    Cette ambiguïté me ravit, m’excite. Je vais plus fort, plus vite. Et, dans un rêve, je vois Dominique tendre la main ...
    ... vers l’homme, qui s’approche sous la requête. Elle effleure du bout des doigts la verge tendue et, comme si ce simple contact la brûlait, s’éloigne aussitôt. Cela a été si rapide que je me demande si je n’ai pas imaginé ce geste.
    
    Mon plaisir est total. Elle gémit sous mes coups. Un râle ! C’est l’homme qui jouit. Son sperme jaillit et le premier jet – le plus impérieux – retombe sur le capot, pas si loin du visage de ma femme. Les autres éclaboussent l’aile, laissant des taches blanches sur la carrosserie noire.
    
    J’ai à cet instant la preuve que la présence de ce voyeur nous unit dans un plaisir partagé car Dominique lance ce cri que tout homme apprécie et qui est la preuve de l’orgasme qui est là ; je la rejoins, mélangeant au plus profond de son vagin nos jus d’amour.
    
    Le temps de reprendre nos esprits et l’homme a disparu. Il est retourné vers le banc. Il a vraiment été parfait, charmant compagnon d’un fantasme que je n’imaginais pas.
    
    Le retour à la maison se passe dans un silence lourd de pensées. J’imagine, j’espère que Dominique fait la même analyse que moi. Nous avons besoin de nouveauté. La séance de tout à l’heure est la preuve, pour moi mais aussi pour elle, j’en suis certain, que la seule présence de cet homme a amplifié notre plaisir. La seule vraie question est : maintenant, comment faire pour pouvoir le reproduire ?
    
    Chers lectrices et chers lecteurs, vous comprenez mieux maintenant ma nuit agitée, peuplée d’un rêve si fort et imagé (voir premier ...
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