1. Aire de stationnement


    Datte: 29/04/2019, Catégories: fh, fhhh, couplus, inconnu, campagne, parking, facial, Oral préservati, double, Partouze / Groupe init, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... contre la portière, je pousse des reins pour qu’elle m’enfourne au maximum.
    
    Merde, il y a quelqu’un ! Là, à seulement quelques mètres, sur le banc, allongé, complètement confondu avec l’ombre. Il faut ces flashs furtifs des voitures qui passent pour le voir. Il doit dormir. Non, il s’assied…
    
    L’homme ne bouge pas. Il faut quelques passages de voitures pour que je puisse saisir son expression ; pourtant, il n’est qu’à quelques mètres. Il nous regarde, c’est tout. Je vais prévenir ma femme qui continue de me pomper mais, comme il ne bouge pas, je suis rassuré et me dis que ce serait idiot de ne pas continuer. Sa présence peut apporter une dose de piment à cet instant.
    
    J’aide Dominique à se relever et l’entraîne vers le capot, cette place me permettant de surveiller notre voyeur. Je me dis aussi que, de cette façon, il sera mieux placé pour profiter du spectacle. Cette pensée m’excite. Ma femme est déjà en train de baisser sa culotte, pensant que cela va suffire pour cette étreinte buissonnière, mais j’ai déjà en tête d’offrir une vision plus grandiose de nos ébats. La fermeture Éclair de sa robe n’est pas un réel obstacle et, si elle est surprise par mon geste, elle me laisse cependant descendre ainsi ses bretelles, la dénudant jusqu’au ventre. Seul son soutien-gorge reste le dernier rempart ; mais lui aussi est dégrafé, libérant sa poitrine.
    
    Ainsi, sa tenue est bien plus érotique que si elle était totalement nue. Le tissu de la robe forme une ronde autour de ses ...
    ... hanches, faisant tendre le regard vers les zones découvertes. Son impatience est palpable et c’est d’elle-même qu’elle se place en appui sur le capot, m’offrant la vision de ses reins au clair de lune. Sa croupe est une ode à l’amour, cambrée à souhait, jambes écartées, ses seins lourds s’écrasant sur la tôle tiède du moteur.
    
    L’homme n’a pas bougé. Mais si ! Un flash me le révèle, braguette ouverte, son sexe à la main, mais toujours assis sur son banc, manifestement prêt à nous suivre dans notre plaisir. Cette vision me fouette. Ma verge se tend ; elle est d’une raideur que je ne connaissais plus. Cela fait maintenant un certain temps que mes érections sont plus molles. Oh, bien assez dures pour pénétrer sans difficulté mon épouse, mais j’ai l’impression d’avoir perdu cette raideur exacerbée que je regrette alors qu’elle m’empêchait des positions enviées.
    
    Un instant, je me penche sur le fessier offert pour saliver et abandonner de longues traînées humides dans le sillon. J’aide la précieuse liqueur à se répandre et, en me relevant, c’est mon gland qui parfait le travail.
    
    Une poussée et j’entre sans difficulté dans sa fente humide. Elle est ouverte, détendue.
    
    Manifestement, l’émission l’a excitée aussi. Cette voiture est à la parfaite hauteur ; c’est l’avantage des crossover d’avoir le capot assez haut. Je suis bien, calé dans mon épouse sous le regard d’un voyeur. Le voyeur s’est d’ailleurs rapproché : il est à un ou deux mètres maintenant, sur le côté, à mon niveau, ...
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