1. Les conflagrations de la vie


    Datte: 29/04/2019, Catégories: ffh, fbi, frousses, couple, poilu(e)s, bain, campagne, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, couple+f, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... instinctivement sa queue en main sans réellement s’en apercevoir. Les cuisses de Michèle sont largement ouvertes et relevées. Emmanuelle, la tête entre ses jambes, lui fait un cunnilingus en s’appliquant afin de donner un maximum de plaisir à sa partenaire qui ondule du bassin. Les deux filles se mettent face à face et s’embrassent très sensuellement ; leurs seins gonflés de désir entrent en contact, leurs ventres se rapprochent, elles s’étreignent et se serrent l’une contre l’autre.
    
    Puis c’est au tour de Michèle de venir lécher le sexe d’Emmanuelle qui émet des gémissements de plaisir. Il ne faut pas attendre longtemps pour que les deux corps se placent en 69, position qui, de langoureuse, devient plus ardente. Les deux femmes lèchent leurs sexes et leurs mains parcourent leurs corps, s’attardant sur la rondeur des seins, la courbe des reins, le renflement du mont de Vénus. Aucune zone érogène n’est épargnée par les caresses.
    
    À un moment, elles roulent sur le côté et font face à Jacques. Il fait un pas en arrière, manque de perdre l’équilibre et se rattrapein extremis. Il se rend alors compte de l’extrême grossièreté de la situation, lui en tant que voyeur, la queue dressée qu’il se branle, observant à leur insu deux femmes faisant l’amour. S’il avait été invité comme voyeur, les circonstances auraient été tout autres et il aurait volontiers regardé les deux femmes baiser, prenant sa queue pour se branler librement sans aucune dissimulation. En l’absence ...
    ... d’autorisation explicite, il se sent fautif. Il regagne le plus discrètement possible sa chambre. Il ne peut s’empêcher de se branler derechef et éjacule dans un mouchoir en papier.« Cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé de me branler seul et de juter ainsi ; la bouche et les mains d’Emmanuelle me dispensent de le faire. »
    
    Au moment où il jouit, il entend l’une des femmes pousser un long feulement.« Est-ce Michèle ou Emmanuelle qui vient de jouir ainsi ? Et maintenant, c’est un silence complet. Sont-elles endormies ? »
    
    Or, dans leur chambre, les deux femmes continuent à faire l’amour très discrètement, très doucement, en silence. On ne peut entendre que de légers soupirs, des respirations oppressées, des succions, des baisers. Le faible volume de ces bruits ne traverse pas la cloison qui sépare des deux chambres.
    
    Les corps sont parcourus de frissons, les épidermes se frottent l’un à l’autre. Elles touchent au paroxysme de la luxure. Lorsqu’elles s’éloignent, c’est pour admirer leur corps, leurs seins amples aux pointes dressées de désir, leurs chattes ornées de lèvres ourlées, gorgées de sang et brillantes de cyprine. Tout à leur plaisir, elles se donnent avec une confiance totale, sans fausse pudeur qui gâcherait leur jouissance. Les caresses vont des mamelons dressés jusqu’au plus profond de la vulve, s’égarant parfois du côté de l’anus. Leurs jeux sont ponctués de chuchotements et d’encouragements :
    
    — Oh, oui, vas-y, continue.
    — Tu aimes ?
    — C’est bon.
    — ...
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