1. Ce doux réveil d'été (1)


    Datte: 29/04/2019, Catégories: Erotique, Auteur: La vierge délaissée, Source: Xstory

    CE DOUX RÉVEIL D’ÉTÉ
    
    Dans le matin d’été, je me réveille par la lumière et le frais du matin qui pénètrent doucement dans ma chambre, par mes volets entrouverts, comme ma fenêtre. Mes yeux mis clos, voient une silhouette étendue à mes côtés, un sourire tatoué sur mes lèvres, voyant cette fabuleuse femme dormant profondément sur le côté, sa tête sur ses bras, une jambe ferme et bandée remonte vers sa poitrine, je la vois frissonner, par cause de l’air frais venant se poser sur sa douce, fragile et délicate peau a l’odeur d’un mélange de cerises et des accords de violettes, un doux parfum qui ramenait le printemps léger pour soulager la chaleur écrasante d’été.
    
    La voyant frissonner je me suis approché aussi doux qu’une plume pour voir si ça n’allait pas la sortir de son sommeil, quand j’ai penché légèrement mon visage près de son cou, j’ai vue qu’au contact de la chaleur de ma respiration dans son cou, un frémissement, son cou, toujours aussi délicatement parfumé, un parfum qui inhiberait n’importe quels sens, perdu dans une osmose olfactive, je rouvre mes yeux bruns pour voir avec surprise qu’elle avait été prise de violents frissons, marquant ses mamelons qui n’ont pas pris longtemps a dressé ses magnifiques tétons d’un brun rosé pointant fièrement vers le ciel tels un élan de féminisme.
    
    A cette vue de cette femme paisible, mon être et mon corps à commencer à entrer dans un combat de résistance à mes pulsions d’un fort plaisir, son bassin collé à mon ...
    ... entre-jambes ne m’aidait pas, je sentais le désir ce durcir, j’ai donc décidé de m’écarter de ce corps qui criait au péché, mais la vue n’en étais que plus belle. Une magnifique vue sur sa chute de reins, qui descendais avec sensualité jusqu’à son dessous de fine dentelle noire, qui épousait parfaitement ses formes rondes et ensorcelantes, j’ai donc décidé de m’éloigner encore une fois pour voir la magnifique peinture qu’elle ferait, mais toujours à portée de ma main, cette même main qui a commencé à effleurer son dos du bout de la pulpe de mes doigts, je ne sais pas quelle sensation elle a ressentie mais les frissons perdus sont revenus de plus belle la faisant contracter ses muscles, sans pour autant la sortir des bras de Morphée.
    
    Mes doigts effleurant toujours son dos sont venus à la rencontre de sa fine dentelle, mon désir étant de plus en plus dure, tel que ma main commençait à saisir avec une douce force ses formes succulentes, ce qui lui a fait remonter sa jambe déjà relevée, j’ai pu saisir à pleines mains ses muscles charnus excitants. Innocemment j’ai descendu ma main plus bas, au niveau de la double épaisseur de sa lingerie, et j’ai constaté avec étonnement que cette partie de son dessous était fiévreuse, j’en ai donc déduit que madame n’était surement plus dans les bras de Morphée, mais je n’ai fait comme si de rien n’était, en continuant mon jeu dans l’espoir de voir cette fine lingerie embuée à son paroxysme.
    
    Commençant à caresser le plus délicatement et le plus ...
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