Le secret incestueux de ma femme (5) - Histoires de Sexe

Le secret incestueux de ma femme (5)

... venant me prendre le paquet à pleine main à travers mon jean.

Je ne pus évidemment pas nier ce qu’elle me disait, étant donné que mon érection était à son apogée.

— Oui ma chérie, je suis ton cocu !

— Huuuummm, je sens qu’on va bien s’amuser. Je te propose une chose, je vais te faire cracher une dernière fois pour te libérer, mais ensuite, tu devras tenir jusqu’à samedi. Nous n’aurons plus de rapport, car je dois me réserver pour mon père et ses copains, tu comprends bien mon cocu ? J’ai envie de jouir avec ces 3 vieux pervers devant toi, cocu chéri !

Elle se tient debout devant moi, et alors, elle vient m’embrasser à pleine bouche en passant ses bras autour de mon cou. Avec ses mules à talons, elle est juste à la bonne hauteur. Je la prends par la taille et je la déguste, je sens son corps mince et sa taille si fine à travers sa petite robe d’été, de toute évidence, elle ne porte pas de sous-vêtements, mais je ne le saurai pas... Mes mains parcourent son corps à travers le tissu fin, je l’embrasse partout, elle est vraiment bonne, j’en profite à fond, mais notre conversation m’a mis dans un état pas possible ! Elle s’écarte alors, s’incline légèrement, ouvre ma braguette et sort juste ma tige raide qui une fois libérée, se dresse en l’air... Je me sens ridicule et elle en profite :

— Tu bandes pour moi mon cocu ? me dit-elle en me regardant dans les yeux. Elle passe derrière moi, je sens son souffle dans mon cou et elle s’empare de mon membre raide comme ...

... la justice.

— Oui chérie !

— Je vais m’occuper de toi, mais je t’interdis de me toucher si ce n’est avec les yeux ! OK ?

— Oui chérie !

— Tu as envie de me voir me faire défoncer par mon père et ses copains ? me souffle-t-elle à l’oreille. Et elle commence à me branler lentement en serrant sa main autour de mon membre qui réagit aussitôt.

— Ouiiiii !

— Ça te plaît que je sois leur pute, hein ? Elle continue avec application son mouvement lent de haut en bas de mon membre.

— Ouiiiii !

— Tu es d’accord pour me prêter alors ? Pour que je prenne mon pied avec ces vieux chnoques ? Et elle continue à me besogner avec application. Ses caresses sont juste insupportables.

— Ouiiii, c’est trop bon bordel !

— Ça te plaît de voir ta femme abusée, hein salaud ? Puisque c’est comme ça, je vais leur vider les couilles et leur faire des trucs que tu ne soupçonnes même pas mon cocu, tu es d’accord ?

— Arrêêêêête, c’est terrible !

Voyant mon état d’excitation extrême, elle serre de plus belle ma queue dure et me branle lentement sur toute la longueur et en me pelotant le cul à travers le jean de son autre main. Sa dextérité est d’une efficacité redoutable. Sous l’action de sa main ferme, l’effet est dévastateur... ma queue tendue comme un arc enserré par sa main lâche subitement des jets de sperme sous pression avec une force incroyable, envoyant plusieurs saccades au travers la salle de bain jusque sur le miroir. Je jouis et je râle de plaisir ! Ma chérie ...