1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°968)


    Datte: 28/04/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... mon plaisir. Quel paradoxe ! Ce sublime mélange d’une douleur violente avec en même temps un plaisir inouï de sentir mon trou du cul bien rempli, entièrement encombré. La volumineuse et raide bite du Maître en moi, tout entière et bien profondément plantée dans mon orifice écartelé, me faisait échapper ces petits cris que j’essayais de réprimer. Je fis un effort surhumain pour maitriser mes geignements, mes gémissements, car chaque coup de butoir profond, puissant, me faisait râler sinon agoniser de douleur et mille plaisirs mêlés. Le Maître accentua cette profonde enculade en m’ordonnant de me taire, de ne pas gémir mon plaisir qu’il ne voulait pas entendre au risque d’être punie sévèrement s’il entendait encore le moindre son sortir de ma bouche... Alors tant bien que mal, je réussissais à me rendre muette quand il ne tarda pas à vider Ses couilles, non pas dans mon cul, mais dessus, et Il se redressa promptement.
    
    - Fais attention à ne pas tâcher ta jupe, lorsque tu l'enlèveras. Tu serais sévèrement punie si c'était le cas ! Tu as déjà failli avoir une punition pour avoir laissé échapper quelques petits cris de ta bouche de ...
    ... chienne en chaleur … Que cela ne se reproduise pas, car je serai moins magnanime la prochaine fois, salope !…
    
    Le message était clair et je savais à quoi m’en tenir… Il se dirigea alors vers la salle de bain et referma la porte. Aussitôt je me relevais, d'une main, je maintins ma jupe relevée, de l'autre j'ouvris la fermeture éclair, puis des deux j'écartais au maximum le tissu de ma peau, et réussis à ne pas toucher au sperme se trouvant sur mes fesses. Je cherchais alors la valise contenant les accessoires D/s du Maître et y pris tout ce dont j'avais besoin. D'abord je plaçais avec bonheur mon collier autour de mon cou, ainsi que ma laisse. Puis je plaçais une pince mordante sur chacun de mes tétons et sur chacune de mes lèvres intimes. Et enfin, je m'empalais doucement mais sûrement sur un gros plug, long et épais. Il ne me resta plus qu'à me mettre dans la position exigée et à attendre. La position m'excitait, ainsi que le simple fait d'être en train d'obéir, et de pouvoir être juste la chienne que Monsieur le Marquis avait mis à jour en moi. Et là, ainsi installée, je me sentais pleinement heureuse et sereine…
    
    (A suivre…) 
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