Mon cher maître (1)
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Louce974, Source: Xstory
... davantage mes jambes, et dans l’action, je perdais ma culotte d’un côté de cheville. J’étais juste en équilibre sur mes pointes de pieds et légèrement renversée en arrière par le poids de son corps sur le mien et entre mes cuisses. Soudain, j’entendis le bruit de métal de son ceinturon qui se dégrafait avec beaucoup d’impatience.
Très vite, mon esprit se mit à travailler pour essayer de comprendre les vraies raisons de mon impardonnable comportement, mais mon corps réagissait bien autrement et frissonna d’un fort désir quand je compris que le sexe bien raide et bien dur de Carl touchait déjà le mien.
Sans même que j’eus le temps de réaliser que j’allais réellement tromper mon copain Charles, ce nouveau pénis se fraya un chemin entre mes lèvres intimes et me pénétra délicieusement de toute sa longueur. Je laissais échapper un long gémissement de surprise, mais surtout de pur bonheur de sentir mon vagin aussi bien rempli par un si gros bon sexe d’homme. Carl ne me ménageait aucunement, il me prenait bien fort et de toute sa longueur en faisant décoller mes pointes de pieds du sol à chaque coup entre mes cuisses qui s’ouvraient plus largement. Même la table se décalait sous ses assauts. Je gémissais plus fort dans sa bouche qui n’avait toujours pas quitté la mienne. Je mordais fort ses lèvres et je griffais ses larges ...
... épaules musclées. Carl me retenait par ses bras autour de ma taille pour s’enfoncer encore plus fort et plus vite en moi.
Ses grands coups de reins trop forts me faisaient mal à mon entrejambe, mais dans mon vagin abondamment humide, c’était du vrai bonheur, et enfin une jouissance extrêmement forte.
Tout mon corps vibrait de plaisir. Mes pieds ne touchaient plus le sol, et mes jambes tremblaient encore dans le vide pendant que mon nouvel amant continuait de me tenir embrochée sur son gros pénis qui semblait vouloir me défoncer pour de vrai. L’excitation recommençait à monter dans mon corps, que soudain, Carl me plaqua, complètement allongée sur la table de tout son poids en grognant comme un animal. Ses grosses secousses dans mon vagin me confirmaient qu’il jouissait de tout son plaisir et se vidait fièrement en moi.
Carl me libéra de suite, et réajustant son pantalon qui était à ses genoux, il s’éclipsa un moment aux toilettes. J’en profitais pour enrouler une serviette autour de moi, et nous servir un dernier verre de jus de fruit bien frais. Carl s’en alla aussitôt qu’il avait terminé son verre.
C’était peut-être un petit moment très rapide, mais bien très excitant que je racontais ensuite à mon cher maître.
Je n’aurais jamais pensé pouvoir tromper mon copain, mais je ne regrette pas du tout d’avoir si bien joui.