Les mystères de l'Asie (2) - Histoires de Sexe

Les mystères de l'Asie (2)

... la tenue de Zhao était beaucoup trop courte.

Alors elle commença à accueillir les clients, et constata que beaucoup d’hommes se tordaient le cou pour mater son cul si bien moulé par sa minijupe.

Elle était ravie de l’effet qu’elle leur faisait, et elle commençait à sentir des fourmillements entre ses cuisses.

Elle était en train d’examiner les clients masculins les uns après les autres, essayant de décider lequel aurait la chance de la dépuceler, quand les vieux clients de Liuyu entrèrent dans le restaurant.

Zhao prit son courage à deux mains et alla les accueillir, elle sentit tout de suite le regard pervers de l’homme la détailler des pieds à la tête, il lui demanda si Liuyu était là.

Mais Zhao leur dit qu’elle était sortie, et que s’ils le désiraient, elle pourrait s’occuper d’eux.

Ils acceptèrent et lui demandèrent de les installer à la même table que la dernière fois.

Ils s’installèrent, et tandis que Zhao allait chercher les cocktails et les cartes, Jean demanda à Clarisse :

— Tu crois que la petite est aussi chaude que la sœur ?

— Attends, tu ne comptes tout de même pas baiser avec toutes les filles de la famille.

— Ne me dis pas, qu’elle ne veut pas exciter les mâles avec sa minijupe ultra courte

— Peut-être, mais elle veut surement un autre mâle que toi, vieux pervers.

— Tu n’y vois pas d’objection si je tente ma chance ?

— Rhoo, mais il te les faut toute, ma parole, ok, fais comme tu veux, mais n’insiste pas si elle t’envoie ...

... balader.

— Tu me connais, je ne suis jamais trop pressant, si elle me repousse, j’abandonne.

Zhao arriva avec les cocktails et les cartes, et tout comme Liuyu, attendit les commandes, mais contrairement à sa sœur, aucune main ne vint lui caresser les cuisses.

Jean préférait attendre un meilleur moment pour tenter sa chance, et Clarisse attendait de voir son mari se prendre une gifle de la part de la jeune fille.

Zhao prit leur commande et repartit derrière le bar.

Une fois leur plat prêt, Zhao leur apporta, tout se déroulait comme un soir normal, et Zhao commençait à désespérer de perdre son pucelage ce soir-là.

Mais alors qu’elle redescendait de l’étage où elle avait été aux toilettes, elle croisa un homme un peu éméché qui sortait des toilettes des clients, il ne tenait pas bien debout, et bouscula Zhao la renversant dans les escaliers.

Il avait une vue imprenable sur le string de Zhao, et malgré son état d’ébriété avancé, il se colla à la jeune fille et lui posa une main sur une cuisse, et tout en descendant sa main entre les cuisses de Zhao, il lui dit :

— Eh bien, mademoiselle, c’est un joli bout de tissu que vous avez entre les cuisses.

Elle ferma les yeux et sentit la main de l’homme posé contre sa chatte, mais elle était partagée entre deux émotions, la peur de se faire baiser par cet homme complètement saoul, et l’envie de sentir enfin le sexe d’un homme en elle.

Elle ne savait pas quoi faire, elle sentait les doigts de l’homme se glisser ...