1. Ma femme, cette salope que j'aime. (1)


    Datte: 28/04/2019, Catégories: Trash, Auteur: tomy83, Source: Xstory

    Bonjour ou bonsoir, chères lectrices, chers lecteurs. Cette histoire ne sort pas de mon imagination débordante, mais de celle de notre couple, car oui, on écrit ce récit à quatre mains. Tout d’abord, les présentations.
    
    Elle, ma femme depuis 10 ans, Estelle, est un petit bout de femme, 1 m 55, rondelette sans être obèse. Les cheveux noirs coupés courts, les yeux noisette et tout ce qu’il faut là où il faut. Un cul d’enfer, des seins volumineux, des tétons énormes sur des aréoles foncées. Ses cuisses sont fermes et épaisses, des mollets épais sur de charmants petits pieds. Elle s’épile, à ma demande. Elle est lisse comme un bébé. Elle a 35 ans, tout comme moi, Marc. Je fais 1m80, 70 kilos, châtain court les yeux marron, une queue dont je suis fière, 18 x 5,5. Ma moitié avait accepté son épilation intégrale à une condition, que je le sois aussi, mais rentrons dans le vif du sujet.
    
    Ma femme et moi sommes des accros aux plaisirs charnels sous toutes ses formes. On adore baiser, car il n’y a pas d’autre mot, avec d’autres dépravés. Jeune, vieux ou vieille, en couple, hétéro ou bi, gay, tout y passe. Je suis bi, pour le plus grand bonheur de mon épouse. J’adore sucer et me faire enculer et sentir gicler en moi. Évidemment, l’inverse aussi.
    
    Nous ne fréquentons pas les clubs libertins, trop cher. On aime se donner rendez-vous chez nous ou chez eux. Les plans extérieurs sont aussi les bienvenus, à la plage au Cap d’Agde, nous sommes de vrais exhibitionnistes. Les critères ...
    ... de sélection sont simples, on prend tout ce qui bouge. Vous aurez plus de précision au fil de l’histoire.
    
    Pour le moment, on attend un petit jeune, Romuald que l’on connaît depuis le début de l’été et une surprise.
    
    Ma femme s’est habillée pour l’occasion d’une robe en maille d’où émergent ses tétons. Sa robe lui tombe à ras de ses grosses fesses. Elle n’a pas de sous-vêtement ni de chaussure. Quant à moi, je suis en paréo. Il est 15 h 00. On sonne. Je vais ouvrir.
    
    — Salut Romuald. Tu es seul ?
    
    — Non, la surprise arrive, regarde.
    
    Une dame d’âge mûr fait son apparition. Elle s’appelle Caroline, Caro, elle a 65 ans. Elle n’est pas très belle, mais on s’en fout. Elle approche, hésitante. Grande, mince, une poitrine correcte. Elle sait pourquoi elle est là, elle est venue nue sous son manteau. Estelle le lui ôte et fait visiter notre humble demeure. On s’installe au petit salon. Il faut que je vous le décrive. Dans cette grande alcôve à l’épaisse moquette rouge, deux énormes canapés en cuir blanc, une table basse en verre épais, un minibar, une table de massage et une croix de Saint-André. Le tout étant caché des regards par une lourde porte en bois. Voilà notre lieu de luxure, là où on passe le plus clair de notre temps libre.
    
    — Champagne ? demande mon épouse.
    
    Tout le monde acquiesce. Estelle est déjà en train de branler Romu, qui s’est mis à poil. Caro regarde l’énorme vît avec délectation. Romu est un jeune gringalet de 18 ou 19 ans, doté d’une queue de 25 ...
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