Soirée chez Alban: je deviens Alexandra
Datte: 27/04/2019,
Catégories:
hh,
hhh,
couleurs,
grossexe,
hépilé,
piscine,
Oral
pénétratio,
hdanus,
hsodo,
Auteur: Bantou, Source: Revebebe
... les deux autres. Je m’ouvre de plus en plus. Alban me murmure à l’oreille des propos salaces concernant mon cul, sa grosse bite…
— Tu mouilles comme une femelle en chaleur. Petite femelle blanche, tu as besoin de prendre une bonne bite dans le cul. N’est-ce pas, salope blanche : tu as envie d’une queue de Black bien monté pour te faire enculer comme un petit pédé de Blanc ?
— Tu m’excites, Alban, quand tu me parles comme ça… J’ai envie de ta grosse bite.
— Tu réalises ce que tu me demandes ? Tu vas te faire casser le cul, ma petite chérie !
— Je veux être femelle. Possède-moi, Alban. J’espère que tu es « clean », n’est-ce pas ?
— Ne sois pas inquiet pour cela : je le suis, et tous ceux qui m’approchent sont sains ; c’est une règle. Et toi ?
— J’ai eu des contrôles très poussés avant de venir au Congo. Je suis sain aussi.
Alban tend le bras et attrape une clochette qu’il agite. Le tintement fait rappliquer Bernard, le boy. La vue de mon cul pris par trois doigts de son patron le fait bander et soulever son petit tablier blanc.
— Va me chercher un pot de lubrifiant, et vite !
— Je cours, chef !
Entre-temps, Alban m’a mis sur le ventre, écarté les genoux et glissé un coussin sous mon ventre. Il approche son visage, me plante sa grosse langue dans le cul et me caresse la rondelle, me tirant des gémissements.
Le boy revient en courant avec le gel et tend le pot à son patron. Sa bite est droite devant lui. Quel tableau ! Il repart, s’arrête derrière des ...
... arbustes et se planque pour mater sans doute et se branler le cocotier. Voilà un boy très particulier : il serait intéressant de connaître les détails de son embauche !
À mon grand regret, la langue d’Alban quitte mon anus. Il a ouvert le pot de gel, plonge les trois doigts dedans et les ressort enduits d’une épaisse couche de gel en direction de mon cul. Le massage reprend, visant à distendre ma rondelle pour que je puisse prendre son gros calibre sans me faire déchirer.
Cela fait plusieurs années que je ne me suis pas fait enculer par un homme. Diane m’a plusieurs fois doigté le cul et parfois branlé avec un gode, mais jamais je n’avais été en situation de connaître une si grosse bite. Jean était bien monté et me faisait jouir du cul, mais là, c’est la grande aventure ; la grosse aventure, devrais-je dire.
Les doigts de mon perforateur de cul blanc coulissent maintenant aisément dans mon puits qui s’élargit. Un quatrième doigt volontaire pour descendre à la mine rejoint ses camarades de jeu. Je gémis de plus en plus.
— Bon sang, Alex ! Tu t’es déjà fait défoncer la porte de derrière ; bien du monde a dû passer par là, n’est-ce pas ?
— Non, Alban : juste un homme il y a plusieurs années, mais souvent.
— Alors, tu es douée. Je te l’ai dit : tu es une femelle à bites.
Ce travail préparatoire achevé, je sens que le moment tant attendu mais aussi redouté arrive. Alban me met sur le dos, relève mes jambes et les pose sur ses épaules ; le coussin retrouve sa place sous ...