Soirée chez Alban: je deviens Alexandra - Histoires de Sexe

Soirée chez Alban: je deviens Alexandra

... faisant rouler. Je pousse un gémissement de plaisir, ma bouche fouillée dans les moindres recoins par sa langue.

Ses mains continuent à descendre, abandonnant à mon regret le travail de mes tétons si sensibles. Il relâche la pression de ses genoux et me prend les hanches. Sa bouche quitte la mienne et parcourt mon cou, mes épaules et mes lobes d’oreilles. Quel délice ! Je suis complètement abandonné à ce mâle viril.

Ses mains quittent mes hanches pour les contourner et se glisser dans mon pantalon qu’il a écarté et baissé. Alban devient moins dominateur car il sait que je n’offre pas de résistance. Il est doux maintenant. Il me caresse les fesses. Mon pantalon descend, ses mains sont sur ma petite culotte.

— C’est très coquin, cette culotte en dentelle ; c’est pour moi ?
— Oui, fais-je en baissant les yeux.
— Enlève ton pantalon et ta chemise que je t’admire, petite femelle blanche.

Ce qualificatif que je pourrais considérer à connotation raciste m’apparaît affectif et me séduit au plus haut point.

— Montre-toi, exhibe-moi ton corps.

Je m’éloigne un peu de lui et tourne gauchement sur moi-même. Je n’ai pas l’habitude des défilés de mode pour sous-vêtements coquins.

— Tu es vraiment bandante, dit-il en se frottant la queue. Approche, petite femelle blanche.

J’obéis. Il place sa main gauche derrière ma tête et m’attire à lui vers ses lèvres, ses yeux rivés aux miens. Sa main droite descend vers mon sexe tendu comme un arc. Du dos de ses doigts il me ...

... caresse le bas-ventre, l’aine et le haut des cuisses. Mon bas-ventre est en feu, mon anus palpite. Je dois mouiller d’excitation.

— Et l’épilation totale, c’est pour moi aussi ?
— Oui, Alban. Tu m’as demandé d’être sexy : j’ai pensé que cela te ferait plaisir.
— Tu anticipes mes désirs : rien que cela me comble ; en plus, tu es réellement désirable. Je bande pour toi, petite femelle blanche !

Et il m’embrasse cette fois-ci avec une grande douceur, comme pour me récompenser.

— Enlève mon pantalon.

J’obtempère malgré la terrasse proche et le risque que quelqu’un nous voie de l’extérieur. Le pantalon est enlevé.

— Enlève mon boxer.

Je glisse à genoux, pose mes mains sur ses hanches, caresse ses fesses dures et musclées et fais descendre son boxer lentement, pour profiter de chaque seconde qui dévoile ce superbe membre que je convoite depuis ce matin sur le bateau. Au diable le voyeur éventuel !

Il m’apparaît à quelques centimètres de mon visage, majestueux et beau, long et fort. Je pose mon visage dessus pour le sentir vibrer sur ma joue. Je suis aux anges.

Le sexe me manquait ces dernières semaines, mais j’étais loin de penser que je serais à quelques centimètres d’une grosse queue africaine, sans nul doute tout disposé à lui prodiguer toutes les caresses possibles et même à en inventer, avec le plus grand des plaisirs.

— Donne-moi du plaisir, femelle blanche. Suce !

J’obéis et la caresse d’abord avec ma joue, puis avec mes mains. Cela fait une ...