1. Alain . . . (9)


    Datte: 27/04/2019, Catégories: Erotique, Auteur: dodomido, Source: Xstory

    La dernière rencontre avec Alain et son invité Patrick est, jusqu’à maintenant, une des meilleures expériences que j’ai eues aussi bien au niveau du plaisir que celui d’être de plus en plus dévergondée. Je suis tout à fait consciente que je le dois à Alain, mon amant dominateur.
    
    Vous avez compris que ce Patrick est un adepte de la sodomie. Fort heureusement pour moi, j’accepte et aime la pénétration anale.
    
    Je suis au travail, j’ai une pensée pour Alain, je lui envoie un SMS.
    
    — Coucou Alain, comment vas-tu depuis l’autre jour ?
    
    — Salut, je vais bien. J’espère que toi aussi.
    
    — Je vais bien, merci.
    
    — Tu es au travail ?
    
    — Oui, je travaille le matin, je quitte à 14H00. As-tu envie d’une petite pipe si ta femme n’est pas là ?
    
    — Elle n’est pas là, elle rentre vers 19H00.
    
    — Si tu veux, je passe quand je quitte le travail, c’est-à-dire vers 14H30.
    
    — Tu veux ? D’accord, avec plaisir.
    
    — J’ai envie de te sucer, à tout à l’heure. Bisous.
    
    — Très bonne initiative ! A tout à l’heure ma suceuse.
    
    Nos SMS s’arrêtent là. Je continue à travailler jusqu’à 14H00. Je suis radieuse du fait de savoir que je vais aller voir mon dominateur, cela fait quelques jours que nous ne nous sommes pas vus.
    
    Je me gare comme à mon habitude devant sa porte de garage. Je descends de la voiture, la porte s’ouvre, Alain dépose un baiser tendre sur mes lèvres et me fait entrer.
    
    — Ta femme n’est pas en déplacement en ce moment ? Tu ne m’appelles pas.
    
    — Non, elle reste à ...
    ... son bureau, et donc elle revient que le midi et en fin de journée, ses heures sont variables. Alors ce n’est pas facile de prévoir quelque chose.
    
    — D’accord. Je ne vais pas traîner, je suis venue pour te faire une bonne pipe et je repars. Moi aussi, je ne dois pas trop tarder.
    
    — Tu as donc envie de sucer et tu as pensé à moi. C’est bien.
    
    — Oui, j’ai envie de sucer, et en ce moment, mon mari est fatigué quand il rentre le soir que même il en refuse ma bouche. ! Si tu n’étais pas libre, j’aurais été dans l’obligation de trouver une queue à me mettre dans la bouche. (En rigolant.)
    
    — Tu es si accro à la pipe que ça ? Tu le ferais ?
    
    — Franchement ? Oui, je suis capable de le faire.
    
    — Pourquoi pas ! Et tu m’expliques après.
    
    — Ne me prends pas au mot quand même.
    
    Alain prend ma main, la pose au niveau de la braguette. Une belle bosse est formée.
    
    — Tu vois l’effet que tu me fais à me dire des choses pareilles ! Tu es fière ?
    
    — Oui, je le suis. Assieds-toi sur le canapé que je te détende.
    
    Pour une fois, ce n’est pas lui qui dirige les choses, mais moi. Il déboucle son pantalon, le baisse jusqu’à ses chevilles en même temps que son caleçon, puis s’installe confortablement.
    
    — Viens me détendre, j’en ai besoin.
    
    En effet, sa verge est déjà en forme. Je prends un petit coussin pour protéger mes genoux de la dureté du carrelage, m’agenouille, prends sa queue dans ma main en donnant de petits coups de langue. Il me regarde.
    
    — Tu es quand même une belle ...
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