1. Le dilemme de l'épouse


    Datte: 26/02/2018, Catégories: fh, extracon, toilettes, hdomine, jalousie, contrainte, noculotte, jeu, couple+h, prudes, boitenuit, Auteur: Parisfou, Source: Revebebe

    Le dilemme de l’épouse
    
    Vendredi soir. 21h. Rue de XXXX Paris 9. Petite pluie fine.
    
    Elle : Allô… T’es où ? Je suis à la sortie du métro, j’ai eu un peu de retard.
    
    Moi : Bouge pas, j’arrive.
    
    J’attrape ainsi mon épouse après une longue semaine de travail. Rien d’excitant dans sa tenue. Le tailleur habituel blanc et noir qui sied bien dans les bureaux, la petite odeur de RER A à l’heure de pointe, l’imper qui évite les soucis, pas ou peu de maquillage… bref une soirée d’automne.
    
    Mais au lieu de rentrer nous allons dîner en tête à tête dans un des restaurants du quartier de la bourse à Paris. Les enfants – deux charmants ados – sont suffisamment grands pour rester seuls devant leurs jeux vidéo ou leurs Ipads jusqu’à minuit. Il suffisait juste d’acheter des hamburgers à faire au micro-onde. Je sais, c’est lâche.
    
    Christelle, ne voulait pas les laisser seuls et sortir. Mais trop c’est trop, et elle a craqué la semaine précédente. À midi, elle a passé se refaire une beauté chez une des esthéticiennes de la défense, pour une première sortie en amoureux dans un club. À 43 ans, elle ne paraît pas vraiment son âge. C’est une jolie brune-châtain, petite et assez fine, avec une peau très claire.
    
    Passée la première par la porte de la brasserie, j’en profite derrière elle pour regarder ses jolies hanches partiellement masquées par l’imperméable. Elle commande rapidement et me fait culpabiliser à cause des enfants abandonnés. Je ne l’écoute pas vraiment. Tans pis s’ils ...
    ... se couchent tard, s’ils ne mangent pas bien, et oublient de se brosser les dents. Je regarde sa coiffure – un carré – sa tenue de bureau, sa poitrine, ses yeux verts et ses nouvelles lunettes pour voir de près. Ça faisait longtemps que je ne l’avais pas regardée. Je suis un peu jaloux car elle s’habille mieux pour travailler que pour les week-ends. Elle est encore très belle, elle n’est pas très à l’aise. Ma main sous la table, sur ses genoux, la détend un peu malgré un zeste d’agacement. Un verre de vin blanc fait le reste. Conversation banale mais au moins sans être interrompue. Son embarras est perceptible.
    
    Arrivés au dessert, je lui donne sa trousse de maquillage, et une paire de collants neufs. Elle hésite encore mais finit par descendre aux toilettes. J’ai encore refusé sa troisième proposition de film pour la séance de 22h30. Je reste seul dix minutes le temps de finir le bordeaux et de régler la note.
    
    On se dirige vers la voiture garée quelques rues plus loin. Je la laisse entrer seule. Elle trouve à ses pieds un petit sac avec la jolie robe bleue achetée lors d’une soirée d’anniversaire. Je refuse encore une fois d’aller sur les grands boulevards voir le dernier film à la mode (ou pas). Je fais le guet en dehors pendant qu’elle se change. Heureusement à cette heure, en novembre et avec un peu de pluie, les rues de Paris sont presque désertes. Sa robe lui arrive juste au-dessus des genoux et laisse voir un joli décolleté.
    
    Nous nous dirigeons vers un club du ...
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