Bain de minuit 3
Datte: 26/04/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... en plus ses fesses sur mon pubis, sans bruit car sous l’eau.
- Tu aimes ça hein ?
- Ahh, oui c’est bon. Dommage que tu n’aies qu’une seule bite…
Comprenant le message, je fais entre deux doigts puis trois dans son vagin, sentant ma queue contre mes doigts au travers de la fine paroi. La sensation est telle que je ne peux me retenir très longtemps et je jouis sans retenue dans son petit cul..
Elle s’arrache à mon etreinte et sort de l’eau pour aller se jeter sous la douche. Je la rejoins alors qu’elle est en train de se sécher. Nous nous embrassons tendrement. Mes mains sont attirés par son corps ferme, ses fesses de béton, ses minuscules seins aux tétons si volontaires, son ventre plat et musclé, son pubis sans poils au bas duquel sa fente s’entrouvre, déjà brillante à nouveau, ses cuisses longues et fermes, ses épaules étroites, et pourtant carrées. Je ne me lasse pas d’embrasser son menton à fossette qui souligne l’ovale de son visage, ses lêvres légèrement pulpeuses sans intervention extérieurs, son nez étroit, en trompette, ses grands yeux , sans doute bleus, mais qui sont gris clairs sous la lumière nocturne, et ses mêches blondes, courte, mais denses qui tombent sur un cou qui appelle les baisers. Je ne sais ce qu’elle m’a trouvé, moi qui suis loin d’être un apollon, avec mon metre quatre-vingt, mes cheveux grisonnants, et mon petit bedon, mais je profite de la fête. Rapidement nos corps s’échauffent à nouveau, et Voisine me fait coucher sur le sol avant ...
... de venir s’empaler sur moi. Elle me chevauche ainsi de longues minutes, debout sur mon sexe, mes mains triturant ses seins et ses fesses. La cavalcade s’accélère et ressemble de plus en plus à un rodéo. Elle pose alors ses pieds au sol et vient sur ma queue, accroupie, en appui sur les bras, elle entame une dans de saint guy, de plus en plus rapide. Je sens son vagin sérré autour de moi qui s’échappe presque, pour venir s’empaler d’un coup juqu’à cogner mon ventre, à un rythme effrenné. Voisine Halète fort, le visage fixe, et s’écroule d’un coup sur moi, vaincue par sa jouissance.
Elle retombe épuisée à côté de moi, mais se rend compte que je n’ai pas encore joui (la seconde fois, c’est plus long)
Elle m’attire à elle et se place à quatre pattes sur ma serviette, avant de s’étendre, la tête entre ses bras croisés, les fesses en l’air
- Viens , me dit elle simplement.
Je m’agenouille derrière elle et elle écarte ses fesses de ses mains pour m’indiquer la voie à suivre. Je guide mon gland sur sa rosette, et j’appuie. Le chemin déjà fait m’absorbe instantanément et je me retrouve dans l’étroit fourreau en train de la pilonner vigoureusement. Elle subit mes assauts en oscillant juste, d’avant en arrière, pour faciliter le coit. Cette fois, l’étroitesse du conduit, la chaleur, et la vue de ce splendide cul offert, ont tôt fait de porter mon excitation à son comble. La tenant fermement par les hanches, je la percute de plus en plus fort jusqu’à ce qu’un torrent de feu ...