1. COMMENT J'Y SUIS VENU EP 4 : DISPOSITIF MAISON


    Datte: 25/04/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... vraiment cet endroit et au fond de moi je me demandais à quelle sauce j'allais être mangé, je me demandais même si quelqu'un voudrait me manger …
    
    Un homme m'abordait …
    
    Lui : Tu n'est pas un habitué toi ici ?
    
    Moi : Euh ! Non …
    
    Lui : Et tu cherche quoi ?
    
    Moi : Bein, je sais pas moi !
    
    Lui : Tu devrais venir un vendredi soir, il y a toujours des soirée spéciales !
    
    Moi : Vendredi … Ok …
    
    Lui : Remarque si tu veux, on peut aussi te proposer … Suis moi !
    
    Il se dirigeait vers les escaliers qui conduisaient au sous sol. J'hésitais puis j'avalais mon verre et le suivais.
    
    Il ne se retournait même pas pour vérifier si je le suivais, il semblait s'en moquer . Il avançait jusqu'au milieu d'une des salles du sous sol. Il se retournait enfin, me regardait et me faisait signe d'approcher. Je tremblais mais je l'y retrouvais.
    
    Lui : Met toi torse nue !
    
    Je m'exécutais. Quelqu'un récupérait mes affaire et les rangeait dans un sac en me garantissant que personne n'y toucherait. '' On est des barbares pas des sauvages … '', il me disait.
    
    Le premier me prenait dans ses bras, il prenait mes deux main et les plaçait au dessus de ma tête, les bras levés vers le plafond. '' Reste comme ça ! '' je ne bougeais pas, je bandais à mort ! Il s'approchait de moi et me donnait un baiser très tendre puis me recouvrait les yeux. Je ne voyais plus rien. Un autre homme s'approchait dans mon dos, me caressait tout le corps. Deux autres hommes s'approchaient, un à ma droite ...
    ... l'autre à ma gauche. Leurs mains me caressaient, me pinçaient les tétons. Un bruit métallique résonnait et je sentais des menottes autour de mes poignées. J'étais attaché les deux bras en l'air !
    
    Les caresses se faisaient plus violentes, plus fortes … Ils me pinçaient le corps, mais il le faisaient dans le but de faire mal et je commençais à me tortiller et à râler. On me passait un bâillon, c'était un truc en caoutchouc, une sorte de barre fermement attachée par une sangle qui passait derrière ma tête. Je pouvais toujours râler, gueuler mais je ne pouvais plus articuler. J'entendais : '' C'est mieux comme ça '' …
    
    Je recevais alors un coup de fouet ou de je ne sais quoi dans le dos, c'était violent et ça claquait fort. Je me raidissais puis me débattais, je gueulais, je râlais, je les entendais rire … Suivaient deux coup de ceinture, finalement c'était une ceinture. Puis une dizaine d'affilé. Je ne gueulais plus, je gémissais …
    
    On m'ouvrait mon pantalon, je râlais de nouveau et recevais aussitôt dix autres coups de ceinture. Ça commençait à bien me chauffer le dos et je ne bougeais plus, je ne disais plus rien. Je respirais fort, mais qu'est-ce que je suis venu faire ici … Ils m'avaient retiré mon pantalon et je me retrouvais nu au milieu de la pièce, je ne pouvais pas savoir combien ils étaient autour de moi. Je bandais !
    
    Un main me caressait le torse avec douceur, s'arrêtait sur un de mes téton et me pinçait très fort, me faisait très mal, je gueulais et recevais ...
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