1. comme promis... (1)


    Datte: 25/04/2019, Catégories: Hétéro Auteur: martmyst33, Source: Xstory

    Bonjour tout le monde,
    
    Vous trouverez ci-dessous un texte de mon jardin secret que j’ai envie de partager avec vous. Je finissais à Paris, j’avais 25 ans à l’époque, et je fréquentais un site de rencontre qui commence par A. J’y ai fait de très belles rencontres dont une avec une certaine L. Après avoir échangé par email, nous être rencontrés d’une façon tout à fait classique, nous nous sommes vus chez elle. Nous avons de nouveau discuté une bonne partie de la nuit sur nos activités, et c’est à cette occasion qu’elle m’a confié qu’elle écrivait des nouvelles érotiques/pornographiques. Après lecture d’un de ses textes sur son lit, je me suis finalement lancé, je l’ai embrassée et nous avons fait l’amour le reste de la nuit et du petit matin. Au lieu de vous raconter, cette femme m’a écrit un email le jour suivant pour me faire part de ses sensations, une sorte de débriefing que j’ai envie de partager avec vous.
    
    Sa plume est extraordinaire et j’ai envie de publier son texte pour lui rendre hommage (malheureusement sans citer son nom).
    
    Bonne lecture et en attente de vos commentaires :
    
    "Comment vous dire, cher ami, ce que votre image et votre souvenir, ce que la moiteur de votre peau lorsque le plaisir vous saisit, ce que la puissance de vos pulsions, ce que la profondeur de votre regard qui s’intensifie à la contemplation de mes convulsions orgasmiques, ce que vous, mon cher, vous, tout entier, procurez à mes sens lorsque le désir vient à chatouiller la paisibilité ...
    ... endimanchée de cette soirée ?
    
    Jusque-là, les mots m’ont toujours été d’un secours fort appréciable, mais il arrive que lorsque le corps s’éprend d’un déhanché, d’une caresse, de la fougue d’une passion répétée, des orgasmes que l’homme a su lui offrir dans une générosité qui n’a pas de bornes, l’esprit ne peut trouver le moindre réconfort que sous l’intensité des furies de ce sexe qu’il réclame. Vous n’êtes, mon cher, bien évidemment pas qu’un simple sexe, car souvent, c’est l’illusion de votre regard qui me fait déborder le con. Vos baisers me font saliver et là où mes lèvres jolies s’assèchent, les quatre autres que vous explorez à grandes lampées lorsque vous me rendez visite s’humectent de ce liquide que vous aimez à sucer, après en avoir trempé votre doigt. Le simple souvenir de ce geste fait frétiller mon antre gourmand de vous...
    
    Le souvenir de votre vit bien dur effleure le bout de mes doigts et engourdit mon bras qui ne peut agencer ses va-et-vient adorés, car il n’y a rien d’autre que le foutre de ma chatte sous la main et là où vous grossissez, je me resserre...
    
    Ah ! j’aurais aimé que vous tâtiez de ce délicieux gonflement dont vous êtes le maître...
    
    Je suis bien naïve...
    
    Là où je crois me procurer un peu de douceur et de calme, c’est fusion de toute part et spasmes à m’en couper le souffle. Je vous vois, malgré moi, entrer dans ce salon où trônent, sur ce lit que vous connaissez, les restes de ma personne, soumise à tant d’excitation qui n’est qu’un ...
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