1. Le jardin secret


    Datte: 25/04/2019, Catégories: fh, copains, jardin, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... d’adrénaline, un jour de mistral, quand sur la place de l’Horloge, à une heure de grande marée de festivaliers, sa robe lui était remontée toute seule par-dessus la tête, laissant voir… laissant tout voir. Certains avaient cru qu’il s’agissait d’une parade et avaient applaudi ; d’autres se demandaient s’ils n’avaient pas pris leur désir pour la réalité. Mais Bertile s’était fâchée à cette occasion tant elle avait eu peur, d’autant qu’il lui fut difficile de rabattre sa robe ; elle me reprocha de ne pas l’avoir aidée. Elle refusa tout jeu pendant une semaine. Puis, un beau jour sans vent, elle vint de nouveau s’asseoir sur moi et me combler de sa vulve humide et chaude. Vincent savait où nous retrouver et il venait parfois bavarder avec nous. Un jour que nous étions particulièrement excités, il s’en suivit ce dialogue.
    
    —(Vincent) J’ai vu un spectacle surprenant avec une fille qui est quasiment nue du début à la fin.
    —(Bertile) Quel spectacle ?
    —(Vincent) « La mariée mise à nu par ses célibataires même ».
    —(Bertile) Oui, on l’a vu aussi ; c’est super. Tous les soirs à minuit. Et les mecs aussi sont à poil. En plus, c’est drôle.
    —(Vincent) Mais je me demande quand même comment la fille peut faire tout cela sans gêne. À un moment, elle monte même sur la selle d’un vélo que les autres ont humidifiée de leur salive. Elle promène un acteur par le sexe…
    —(Bertile) C’est beau, c’est tout.
    —(Vincent) Tu pourrais toi, te promener à poil devant tout le monde.
    —(Bertile) Je ...
    ... ne suis pas comédienne, mais à la plage, j’enlève bien le haut quand il n’y a pas grand monde.
    —(Vincent) Tu vois, quand il n’y a pas grand monde. Moi, je ne pourrai jamais…
    —(Moi) Tu n’as jamais pris un bain de minuit ?
    —(Vincent) Oui, mais je n’en ai pas gardé un bon souvenir. Il faisait froid et ma copine de l’époque était pelotée dans l’eau par des tas de gens qu’on ne connaissait même pas.
    —(Bertile) Pourquoi ? Je trouve excitant de faire des choses privées en public.
    —(Vincent) Enfin, Bertile, imagine que tu es avec Samuel au lit et que tout autour il y a des voyeurs. Tu imagines ? Je suis sûr que cela vous bloquerait complètement.
    —(Bertile) Evidemment, si ce sont des vieux vicieux qui se branlent sur nos draps, mais regarde autour de toi, ici. Ça ne me dérangerait pas de baiser devant tous ces jeunes festivaliers ou non. Ils ont tous l’air sympa.
    —(Vincent) Tu dis cela parce que tu sais très bien que ce n’est possible et que les flics vous embarqueraient. Cela reste au niveau du fantasme. Les mœurs ont évolué, je suis d’accord. On ne fait plus l’amour dans le noir, mais il est bien de garder un jardin secret.
    —(Bertile) Tu vois ce jardin ? Eh bien justement, c’est notre jardin secret.
    —(Vincent) Je ne comprends rien à ce que tu me racontes aujourd’hui.
    —(Bertile) Tu aimes ma robe ?
    —(Vincent) Bien sûr, elle est jolie.
    —(Bertile) Touche-la. Non, pas comme ça, prends-la dans ta main. Voilà. Maintenant, il faut que tu saches qu’en ce moment même nous faisons ...