Business Meeting (3)
Datte: 25/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: NuggetTender, Source: Xstory
... Tu penses que je gémis souvent comme ça chez moi, sans raison ? T’as pas remarqué que j’étais trempée à chaque fois ?
— Oui, OK. Ça va. On peut éviter de parler de ça en pleine rue, non ?
— Alors tu viens. On en parle chez moi.
Nous parcourûmes en silence les quelques centaines de mètres qui séparaient le restaurant de son appartement. La tête vissée dans mon col, mes mains au fond de mes poches, nous marchâmes côte à côte, penchés pour lutter contre les bourrasques. Son comportement était étrange, elle était à la fois nerveuse et guillerette. Elle venait de me hurler dessus, elle voyait bien que j’étais déçu, mais elle se retournait pourtant régulièrement sur moi en arborant un grand sourire. Elle pouvait parfois être désarçonnante, mais là, elle se surpassait.
Nous arrivâmes au pied de son immeuble, je lui emboîtai le pas dans l’escalier qui montait au 2e étage, où se trouvait son appartement. Le bâtiment me semblait froid et vide, peu d’étudiants étaient déjà de retour. Je pense même qu’elle m’avait dit être la seule. Du coup, la cage d’escalier et les parties communes n’étaient pas chauffées. Elle déverrouilla la porte d’entrée et me précéda dans son studio.
Je ne m’attendais pas à ce que je découvris. Des dizaines de bougies allumées étaient disséminées un peu partout. La couleur jaune orangée des flammes dansantes donnait à la pièce des allures de brasier. Il y avait des bougies de toutes sortes, petites, grosses, certaines étaient certainement ...
... parfumées tant l’air était saturé d’une odeur capiteuse enivrante. Fleurs, fruits, bois, impossible de distinguer exactement toutes les essences.
Alors que mon regard ébahi terminait le tour de la pièce, je remarquai que nous n’étions pas seuls chez elle. Une fille était assise sur le canapé. Mes yeux commencèrent à s’adapter à la faible luminosité ambiante et je distinguai peu à peu qu’elle est en réalité complètement nue. Très mince, de fins cheveux bruns qui descendaient jusqu’au bas de son dos, elle me sourit puis décrocha un regard entendu avec Gladys. Elle était assise, les jambes croisées, naturellement, exactement comme n’importe qui le serait en temps normal, ses vêtements en moins. Je continuai à regarder ce corps immobile et remarquai que ses seins étaient petits. Ses tétons étaient tendus, plus gros et plus proéminents que ce que je n’ai jamais vu.
— Je te présente Perla, me dit Gladys en déposant son manteau sur le dossier d’une chaise. C’est une copine d’auditoire depuis le début d’année. Elle est à la fac pour quelques mois puis elle retourne chez elle, à Naples.
— Bonjour, me dit Perla, je te rencontre enfin. Gladys m’a beaucoup parlé de toi et de vous deux, me dit-elle avec un accent italien à couper au couteau.
— Euh, bonjour, dis-je complètement décontenancé. Impossible de nier que tu viens d’Italie, toi, tu as le même accent que Monica Belluci, je trouve.
Mais quel crétin ! Quelle lamentable manière d’entamer la discussion. Cela étant, je remarquai ...