1. Souvenirs de jeunesse-3 : L’Initiation


    Datte: 26/02/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: PP06, Source: Hds

    ... épaule…
    
    On danse, je suis bien… Mais, ce n’est pas Martine dans mes bras, Qui ? Marie, elle est mignonne, sans m’en rendre compte je la caresse, ma main sur ses fesses, elle ne dit rien, elle doit aimer ça… pense-t-elle que je suis un gros lourd, ou espère-t-elle le coup du siècle ? … Martine a le regard sur ses fesses, enfin sur ma main, je la retire rapidement comme un enfant pris la main dans le pot de confiture.
    
    Ne pensons plus à Martine, je dois m’occuper de toi Marie, Marie si jolie petite poupée, comme je les aime…
    
    La musique s’arrête. Je vois Martine partir avec son cavalier vers le sous-sol, déjà, elle a le feu au… non, c’est lui qui la pousse, hésite-t-elle encore ?... On a dit ensemble, je la suis avec Marie qui ne pose pas de question. Martine est devant nous, la main de Marc autour de la taille, sur ses fesses … elle m’a toujours refusé, ne va-t-elle pas en profiter aujourd’hui ? Il faut bien un début à tout…
    
    Les salons sont occupés, nous devons attendre,
    
    Martine repousse Marc qui essaie de l’embrasser. Son chemisier est maintenant ouvert, elle a la poitrine à l’air. Ses mains pétrissent ses seins, jouent avec ses tétons. Elle ne le repousse pas… J’en oublie Marie.
    
    Comme beaucoup de femmes Martine est très sensible des seins, je me souviens quand nous nous sommes connus, en flirtant dans la voiture, je l’embrassais, une main sous son pull, ses seins étaient doux, ses tétons bien érigés, je les malaxais avec le plaisir de la découverte, Martine ...
    ... la tête en arrière goutait ce plaisir, et en fermant les yeux, elle a joui en se mordant les lèvres pour ne pas crier. Une révélation pour nous deux… mais je m’égare, en ce moment c’est Marc qui en profite.
    
    Moi, j’ai juste osé poser une main sur le sein encore couvert de Marie…
    
    Enfin un, puis deux salons se libèrent, leurs occupants vont vers les douches, comme nous le ferons surement dans un moment.
    
    Les dés en sont jetés … Je prends ma cavalière par la taille, Martine se blotti contre son cavalier, … il n’est plus temps de reculer… nous nous dirigeons vers les deux salons fraichement libérés… nos regards se croisent une dernière fois avant que la porte du salon ne se referme.
    
    Enfin seul, sans témoin, je la déshabille très vite, je suis nu tout aussi rapidement. Je l’embrasse, tendrement, presque amoureusement, elle semble si fragile, ses lèvres sont douces et fraiches. J’ai envie de les sentir sur mon gland, … sans trop de préambule, j’investi sa bouche, … elle semble experte, chacun son truc, j’ai tiré le bon numéro. Elle aime ça, c’est évident, j’aimerais jouir dans cette bouche accueillante, mais après, pourrais-je honorer sa petite chatte, ou encore mieux… Je dois me réserver… va doucement Patrick, dou-ce-ment.
    
    Martine
    
    Pourvu qu’il ne jouisse pas trop vite… Quel plaisir de sucer une telle bite, ce gland bien gonflé, cette tige raide… je suis bête, pourquoi n’en ai-je pas profité plus tôt… si j’osais… non pas dans la bouche tout de même.
    
    Je m’allonge ...
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