1. Lectures érotiques (17). Gil Debrisac : « La Bourgeoise » (Editions Blanche, 2011)


    Datte: 26/02/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... nichons de l’autre, jouent avec les mamelons durcis. Gil, tout excité, passe de son numérique à son portable, et vice versa. Par moment, son regard accroche celui de sa maîtresse ou celui de sa consœur. Les gouines se murmurent de tels mots d’amour qu’il finit de se convaincre de la sincérité de sentiments entre les deux femmes.
    
    • Oh Clotilde, suce-moi le clito ! Je veux sentir ta bouche sur ma vulve, et pas rien que ce soir, mon amour !
    
    • Moi aussi, ma chérie, moi aussi ! »
    
    Une sodomie d’anthologie
    
    Gil a offert Rebecca/Candice à cinq dockers, dont deux Noirs.
    
    • « Quel cul, cette poufiasse ! Il s’ouvre déjà ! Graissé comme il est, waouh, ça va bien glisser !
    
    Aussitôt, il pose son gland noir, épais comme une petite courge, sur le trou du cul dilaté et luisant de façon obscène sous la lumière du projecteur du hangar. Saisissant sa proie aux hanches, il pousse lentement, et sous les yeux hagards de Gil, le gland de cinq centimètres disparaît dans le cul de « Candice ».
    
    D’un coup sec, elle a lâché la bite beige du jeune métis pour respirer un bon coup.
    
    Elle râle, halète, balbutie en même temps.
    
    • Oh non, je pourrai pas !
    
    • Toi me sucer mieux que ça ! ordonne le métis qui a tôt fait de refourrer sa verge dure dans la bouche dégoulinante et déformée de sa première pute blanche.
    
    Le puissant Noir qui a attendu un moment s’exclame :
    
    • Ca y est ! Elle est ouverte. Une vraie truie.
    
    Alors, sous l’objectif du numérique de Gil, puis sous celui de son ...
    ... portable, sous le regard aussi des trois autres dockers déjà soulagés mais qui veulent savoir si ça va entrer, il enfonce doucement son long sexe dur, épais comme un concombre, dans l’anus de « Candice » qui gémit, la bouche pleine de la bite du Métis. Lentement le cul dilaté engloutit l’énorme braquemart du Noir jusqu’à ce que son sac de couilles, grosses comme des pêches, vienne buter contre l’entrecuisse. »
    
    « Sous les encouragements lubriques de ses collègues, il entame un long mouvement de va et vient dans le rectum plein de graisse.
    
    Une fois de plus, Candice lâche la bite du Métis pour respirer et s’écrier :
    
    • Aah, jamais eu ça dans mon cul ! T’es le meilleur ! Remplis-moi ! Aah !
    
    Des paroles prononcées suffisamment fort pour passer par le portable de Gil, toujours en liaison avec le sieur de La Molinière. »
    
    CE ROMAN ET MOI
    
    Philippe m’avait offert ce roman à une époque où ma rupture avec Rachid était récente. Je vivais à ce moment avec Hassan, qui m’interdisait de telles lectures. Je l’ai donc lu en cachette.
    
    Certains verront immédiatement des parallèles entre moi et Rebecca. Il y en a en effet beaucoup, à commencer évidemment par l’hypersexualité. Philippe ne s’y était pas trompé, lorsqu’il m’avait incité à lire ce roman érotique.
    
    Entre Rebecca et moi, il y a beaucoup de similitudes, mais aussi de nettes différences, la principale étant que j’ai fini par sortir d’une phase de domination où, comme Rebecca, je m’étais laissée aux pires excès.
    
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