Hamburgers, orgasmes & E.T.
Datte: 24/04/2019,
Catégories:
2couples,
copains,
Oral
69,
pénétratio,
double,
sf,
Auteur: Dr Lamb, Source: Revebebe
... de mes couilles, les léchant l’une après l’autre, tandis que ses doigts masturbaient doucement mon pénis qui, au bout de quelques minutes de ce traitement divin, reprit peu à peu de la fermeté. Lorsque je me sentis prêt, j’ouvris les yeux, le cœur martelant ma poitrine au point d’en devenir douloureux. Elle se rallongea et ouvrit grand les cuisses en me provoquant du regard.
— Viens…
Je m’approchai et vins humecter mon gland le long de son sexe, et la pénétrai doucement, centimètre par centimètre.
— Hmmm…
Je plongeai mes yeux dans les siens, alors que Jennifer, près de moi, jouissait, criant, gémissant, se tortillant comme une damnée dans un…
FLASH !
J’étais toujours enfoncé en elle, mais… je voyais sa chair, ses os, je sentais la chaleur de son sang.
Cela recommençait !!!
Ahuri, je contemplai ses organes, sous sa peau, je voyais ses poumons, son cœur qui battait, le sang qui coulait dans ses veines.
Et lorsque je relevai mon regard vers son crâne, je sentis mes jambes défaillir. Son cerveau était « enveloppé » d’une chose rose et visqueuse, une espèce de masse de chair qui pulsait légèrement.
— Non… gémis-je.
Mais qu’est-ce que c’était que ça ? C’était vivant ! Je tournai la tête pour prévenir mon ami que cela avait recommencé, mais… Il n’était plus là. Je n’étais plus dans son salon, mais au beau milieu d’une rue déserte. Les maisons étaient toutes détruites, à certaines il manquait le toit, comme si elles avaient été soufflées.
— Max ...
... ?
Je reculai vivement, surpris de me trouver habillé. La brune n’était plus là non plus. Une forte bourrasque de vent me fit presque trébucher. Partout autour de moi, des gravats, des carcasses calcinées de vaisseaux, et des corps. Des centaines de corps mutilés jonchaient le sol.
Le ciel était rouge. Rouge sang.
— Max !
Personne. Pas âme qui vive.
Où que je fus, j’étais seul.
Je fis un tour sur moi-même. Mes yeux ne rencontraient que la désolation. J’étais visiblement dans un ancien quartier résidentiel. Mais où ? Quand ?
Devant moi, une maison à moitié détruite, au toit soufflé et aux fenêtres pulvérisées. Le jardin était envahi de mauvaises herbes. Il y avait un corps devant la porte d’entrée. Homme, femme ? Je n’aurais su le dire, vu qu’il manquait la tête.
— Mais où suis-je ? hurlai-je à la ronde.
Et comment allais-je retourner dans… la réalité ? Non, j’y étais dans la réalité ! Je sentais bien les graviers sous mes chaussures, le vent qui me donnait du mal à rester debout. Et l’odeur du sang, de la chair morte et calcinée.
Une sorte de vrombissement étouffé me fit lever la tête. Et pousser un cri. Un vaisseau énorme, dix ou douze fois plus imposant que les vaisseaux cargos, passait dans le ciel, très lentement, rasant presque le toit des immeubles détruits, au loin. Il passait en silence.
Entièrement noir.
— Mais…
Je n’eus pas le temps de finir. Quelque chose me heurta le crâne. Une vive douleur se répandit en moi, mais fut aussitôt ...