1. L'étrange docteur M'Abuse


    Datte: 24/04/2019, Catégories: fh, médical, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme fist, fdanus, fsodo, lavement, fouetfesse, Auteur: La Curieuse, Source: Revebebe

    ... moi… Pff… Enfin, il se tourne vers moi, son regard perçant vrillé au mien. Je ressens un choc au creux du ventre mais décide de l’ignorer…
    
    — Bien, procédons à votre examen.
    
    Son stéthoscope froid court sur ma poitrine : il ne va pas être déçu car mon cœur bat la chamade. Inspiration, expiration. Tout semble normal. Il me fait asseoir sur la table et passe derrière moi. À nouveau le froid du stétho. Je le sens qui rampe dans mon dos. Je respire bouche ouverte comme requis… C’est ma tension qui l’intéresse maintenant.
    
    — Jusque là, tout va bien. Vos paramètres sont normaux, sourit-il.
    
    Encore normal ! J’en suis désespérante. Le voilà qui explore chaque centimètre carré de mon corps, qui tâte membres et articulations… Je sens ses mains sur ma poitrine : la palpation. Jamais très agréable. Pour lui, je suppose que c’est la chasse aux nodules et autres kystes. Il appuie, tâte, soupèse mes glandes. Je ferme les yeux. J’ai chaud.
    
    Son toucher a changé, plus léger, aérien. Ses paumes s’aplatissent sur mes seins, il décrit des circonvolutions qui m’emportent, il se fait doux et j’en frissonne. Je sens ses doigts autour de mes tétines, il les étire fermement. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir. Ce n’est plus le traditionnel examen que je connais : celui-ci me chamboule mais je laisse faire, trop heureuse de la tournure que prend ma visite médicale !
    
    Il me fait allonger sur la table et place mes pieds dans les étriers. Je resserre les jambes mais d’autorité, il les ...
    ... écarte. Il s’assied face à mon sexe. Je ferme les yeux dans un soupir. Je sens ses doigts voleter autour de mes nymphes, il masse, il triture, il tiraille, il m’écarte et je soupire de plus belle. Il glisse une main vers mon bouton humide, et me frappe durement la fente : je sursaute. Il sourit.
    
    Le bruissement du papier qu’on déchire, ses doigts qui s’insinuent et le froid spéculum qui m’ouvre largement… Je suis excitée d’être exposée ainsi et il le sent, il le sait. Ses mains ne pèsent plus sur moi, juste son regard qui me couve. J’empaume mes seins et me caresse, l’une de mes mains glisse vers mon capuchon et tourne autour, je me sens gonflée, humide, et je tressaille. Je me branle fort sous ses yeux et j’aime ça !
    
    Qu’il me regarde, qu’il se repaisse de mon jus qui coule, de mes gémissements, du plaisir qui monte. C’est bon, je sens les spasmes m’envahir, je ne peux pas fermer les jambes avec cet instrument fiché dans mes plis… Je vais venir… Là… Telle quelle, le con béant, me branlant comme une garce, comme une salope prête à tout pour jouir.
    
    Mais non, il retire le spéculum et ce sont ses doigts que je sens me pénétrer. D’abord un puis deux, je ne compte plus, je le sens grossir en moi, c’est sa main toute entière qui me fait soudain crier ! Il s’installe en moi et entame un doux va-et-vient. Je suis remplie, débordante, il me pilonne consciencieusement, j’adore ça et je m’ouvre encore plus… je suis à lui. Je gémis et crie, je perds le souffle, je me tends toute ...
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