Famille, je vous aime (1) - Histoires de Sexe

Famille, je vous aime (1)

****Encore une fois je me dois de signaler que je ne suis ici -et dans les chapitres qui devraient suivre- que « la plume » de B3trice.****

C’est le jour où j’ai connu mon premier orgasme que ma vie s’est transformée. Tout du moins que j’ai eu une autre perception de la vie. J’étais encore vierge. Mes premiers flirts s’étaient contentés de m’embrasser, de me caresser la poitrine. De mon côté j’avais caressé leur torse, posé la main sur cette bosse qui commençait à déformer leur pantalon... mais je n’avais pas été plus loin, ni permis que l’on me caresse d’avantage...

Seuls mes doigts commençaient à connaître les secrets de mon corps... et ils apprenaient vite... pour preuve ce premier orgasme que je venais d’atteindre, en utilisant uniquement mes doigts, bien ancrés dans mon vagin tout humide, tandis que du pouce je caressais mon petit bouton d’amour...

Bon... oui, c’était bon... trop bon ! Et depuis ce jour tous mes temps libres ont été consacrés à la recherche de mon plaisir. Et je voulais déjà tout connaître, ne me fixant aucune limite : les hommes, bien sûr, mais aussi les femmes... et la zoophilie. Tout m’attirait ! Mais sans pour autant faire n’importe quoi. Il ne s’agissait pas pour moi de me donner au premier passant venu. Je tenais à garder le contrôle de ma libido. Bref ! Je tenais plus à être « le chasseur » que « la chassée »...

Je m’appelle Bénédicte, et j’ai 23 ans. Rousse aux yeux bleus, je mesure 1m62, pour 52 kg. Svelte et assez élancée, je n’ai ...

... pas une poitrine trop volumineuse; Disons simplement qu’elle est bien proportionnée à mes autres dimensions. Par contre elle est bien ferme, et les petites pointes de mes seins sont très sensibles...

De profession, je suis aide-soignante. Je travaille maintenant dans un hôpital, mais à mes débuts je travaillais pour la Croix Rouge, et je me déplaçais chez les malades ou les personnes âgées, pour faire leur ménage, leur préparer à manger et faire leur toilette. Et en sortant de mon travail je me rendais tous les 2 jours chez mon grand père, qui à 75 ans avait également besoin que l’on s’occupe de lui.

J’ai toujours été proche de Pierre, mon grand père, Gran’Pa comme je l’appelais depuis toute petite. S’il avait plusieurs petits enfants -mon frère et mes cousins-, j’étais sa seule petite fille, et j’ai toujours su que j’étais la préférée de ses petits enfants. Il est vrai que contrairement à mon frère et à mes cousins, j’étais toujours heureuse de passer mes vacances chez lui, à la campagne. Si ils s’ennuyaient ferme, je trouvais moi toujours des occupations intéressantes, et une belle complicité s’était créée entre Gran’Pa et moi. Aussi était-ce tout naturellement que maintenant je m’occupais de lui, mon diplôme d’aide soignante me désignant d’ailleurs tout naturellement pour cette tâche.

Nous étions vendredi. Je ne travaillais pas ce week-end, et après une semaine assez chargée, j’étais heureuse de voir arriver la fin de l’après midi ! Bien sûr je devais encore passer ...