1. Une chance de cocu 8


    Datte: 23/04/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... entame. J’aime son jus, il encolle mon menton. J’apprends l’étendue de la chatte, des poils du pubis jusqu’à la limite du périnée voisin de la corolle de son anus. C’est jeune, c’est savoureux, j’adore. Mes doigts ouvrent la voie à la visite de ma bouche.
    
    Elle a décidé de m’éblouir. Sans doute afin de se rendre indispensable pour la suite du voyage. En acrobate parfaite elle réussit un demi-tour au-dessus de moi et m’enfourche avec aisance, coince mon bassin entre ses genoux, approche mon pal de ses grandes lèvres gonflées et appuie mon gland sur le capuchon de son clitoris, l’y frotte habilement et tressaille quand s’établit le contact gland contre bouton. Hardiment, entre les lèvres externes elle me fait déraper vers l’entrée abondamment lubrifiée de son vagin et s’empale en tourbillonnant sur mon pénis envahi de sang. La sensation formidable de cette descente vers mon pubis m’enivre, je pénètre, perce, écarte les parois engorgées du vagin. Elle s’est embrochée sur ma pique durcie et raide.
    
    Et commence le chevauchement. Elle y met un entrain surprenant, une vivacité rare, elle monte et revient, cherche le meilleur angle d’attaque, courbe son dos auquel je m’accroche des deux mains. Ses frémissements tumultueux durent, l’allure ne faiblit pas, elle s’enfile plus que je ne l’enfile. Sur la couchette étroite je subis l’assaut de ce corps si leste. L’effrontée toujours active me nargue en projetant un sein sur mon visage. Il n’est plus question de froid. La sueur facilite ...
    ... le glissement des peaux l’une contre l’autre.
    
    Le clapotis des sexes remplit la cabine du camion et nous fait rire en plein effort. Elle souffle, voudrait ralentir. Je la relance, la larde de coups de bite, la serre sur moi, empoigne ses fesses folles, je voudrais la percer, la perforer. Et pour accroître le vent de rage qui nous colle ventre à ventre, je chatouille l’espace entre le bas de sa vulve et sa rose épanouie. Alors elle se déchaîne, se lance dans une course rapide, suspend son envol et s’écroule comme foudroyée sur mes jets de sperme contre son utérus. Nous restons immobiles, apaisés par l’orgasme, étonnés de sa violence.
    
    Marlène s’est détachée de moi, descend sur son siège. Je l’entends bouger discrètement.
    
    - Attends, je vais faire un peu de toilette, c’est indispensable, tu comprends. Elle quitte la cabine, referme la porte avec précaution.
    
    Je viens de me réveiller. Le jour se lève; je suis seul. Je m’inquiète, je vais inspecter la station, Marlène a disparu. Je reviens à mon volant. C’est curieux, elle a oublié un mini string, mais son sac a disparu. Mon porte-monnaie aussi. Heureusement, elle ne savait pas où j’avais mes papiers et ma carte de crédit.! Je comprends: j’ai eu affaire à une professionnelle. Elle s’est payée. Il faut être pris pour être appris. Le petit souvenir abandonné me rassure, je n’ai pas rêvé, mon plaisir a été réel. Tant pis pour les billets qui ont payé sa prestation de qualité. Elle a su m’endormir avec son enquête, son désir ...