1. D'Artagnan part en mission


    Datte: 22/04/2019, Catégories: fh, Oral pénétratio, historiqu, Auteur: Pierre Siorac, Source: Revebebe

    ... était venu lui rendre visite…
    
    Athos avait changé. Il ne buvait plus, ou presque. Lui, s’en été vraiment remis à Dieu. Il avait cru qu’en tuant Milady, il tuerait dans le même temps le mal qui lui rongeait le cœur. Mais la plaie, en réalité, ne s’était jamais totalement refermée. Il avait besoin de faire retraite, et le hasard (mais dans ces circonstances, le hasard n’était-il pas la part de Dieu lui-même ?) l’avait ramené vers son ancien compagnon. Ainsi avaient-ils passé ensemble de longues heures à évoquer leur passé, leur amitié et leurs exploits. De longue heures également à évoquer d’Artagnan, le meilleur d’eux quatre, et Porthos, dont seule la taille de géant égalait la générosité.
    
    Aramis finit par confier à son ami sa volonté de se battre pour retrouver sa bien-aimée. Athos n’approuva pas. Il avait pour sa part renoncé totalement à l’amour. Mais la détresse de son compagnon lui rappela la sienne, bien des années auparavant. Et Athos avait un cœur aussi noble que généreux. Il promit alors d’aider Aramis dans son entreprise. Et ainsi, nuit après nuit, un plan audacieux vit le jour. Ce plan que nous avons conté dans le chapitre précédent.
    
    Aramis se retourna vers Caroline et la regarda dormir un long moment…« Qu’elle est belle, mon Dieu ! » Il s’approcha d’elle et déposa un chaste baiser sur son front. Elle ouvrit les yeux… elle sourit.
    
    — René, tu es bien là… Ne me dis pas que c’est encore un de ces abominables rêves…
    — Non, mon amour, tu ne rêves pas.
    — Je ...
    ... n’arrive pas à y croire vraiment, tu sais…
    — Laisse-moi te réveiller doucement, mon amour.
    
    Il embrassa son cou langoureusement, puis se mit à lécher délicatement sa poitrine. Il s’attarda longuement sur la pointe de ses seins tout en la caressant entre les cuisses.
    
    — Je t’en prie, mon amour, fais-moi encore ce que tu sais si bien faire. J’en ai tellement envie.
    — Oui, ma chérie. Tout ce que tu voudras. Je suis à toi, tu te rappelles… pour toujours et à jamais.
    
    Il posa alors sa bouche contre son intimité et commença à la laper doucement. Elle était trempée, et elle sentait bon. Il introduisit sa langue à l’intérieur, de plus en plus profondément, de bas en haut, puis de haut en bas tout en caressant ses jambes si douces.
    
    — Oh, René… Tu es diabolique…
    — Certainement pas, mon amour, j’aime ta chatte, c’est tout.
    — Alors lèche-moi comme tu ne l’as jamais fait.
    — Ma ch…
    — Tais-toi s’il te plaît, ne dis plus rien. J’ai attendu depuis trop longtemps. Je veux ta langue à l’intérieur de mon corps… Plus vite, oui… comme ça…
    
    Elle lui avait pris les cheveux et collait contre elle cette bouche avide de son sexe. Et Aramis, prêt à étouffer, n’en pouvait plus d’excitation.
    
    — Pénètre-moi maintenant, mon amour. Je veux ton épée dans mon ventre, je veux ta bouche dans mon cou, je veux tes yeux dans les miens. Je veux que tu viennes en moi, que tu jouisses en moi…
    
    Aramis s’introduisit alors dans le saint des saints. Il ne tarda pas à se sentir prisonnier à l’intérieur ...
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