Héléne 15 : L'anniversaire
Datte: 22/04/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Rouge, Source: Hds
... vient m’ouvrir la porte.
- Hélène, descend, va dans le faisceau des phares et enlève ta robe.
Je me place dans la lumière et je me déshabille en roulant du cul, comme une strip-teaseuse. Je dépose mon vêtement sur le capot, et je ne peux m’empêcher de diriger mon index sur mon sexe. J’ai l’impression que mon clitoris a doublé de volume. Même pendant mes séances de caresses solitaires, avant de rencontrer mon prince charmant, je ne l’avais jamais senti aussi congestionné, et d’une telle sensibilité.
Je vais commencer à me branler quand la main mon seigneur m’arrête.
- Viens
Nous marchons côte à côte, mon cul roulant en liberté.
Le sol est dur, mes talons ne s’enfoncent pas, j’ai pris mon sultan par la hanche, il a posé sa main sur mon royal popotin, un doigt se glisse entre mes deux fesses.
Je sens la caresse de l’air frais du soir sur mon bouton. Cette exposition intime me donne l’impression d’être plus nue que nue.
- Voilà ce que je cherchais, fait-il en désignant un jeune plant, d’environ vingt centimètres de diamètre à l’écorce lisse, et légèrement incliné.
Il s’est muni de ce que j’appelle la trousse d’urgence, il en sort un paquet de cordes, je lui tends mes mains.
Une fois liée, il ouvre ma veste, puis déboutonne mon chemisier. Avec son mouchoir, il époussette le tronc, puis tendrement, il me pousse tout contre.
Il lance un regard circulaire autour de lui, sort son canif, et coupe une belle branche, souple, et la débarrasse de ses ...
... rameaux.
Devant moi, il l’essaye en la frappant dans sa paume, avec un sourire froid.
J’appréhende et je souhaite en même temps le début de mon supplice.
Il me plaque sur le tronc, et m’attache face à l’arbre. Il tend mes bras vers le haut et noue la corde, en m’étirant sur le fut, mon clitoris exposé touche le bois, je me retiens de me frotter.
Il s’agenouille, et attache mes chevilles de part et d’autre de la souche. Il se redresse, et extrait ma poitrine de mon soutien-gorge. Mes pointes sont déjà érigées, il sort de sa poche, une paire de pinces finement dentées. Il en crochète une sur mon mamelon gauche, il serre lentement les deux mâchoires. Les dents ne percent pas ma peau mais s’y incrustent. Cette sensation est à peine douloureuse.
Il les serre progressivement, puis il soulève la chaine qui les relie. Mes seins sont ainsi pendus par mes mamelons.
Je plante mon regard dans le sien, et j’articule
- Chéri, et le bâillon.
- Ici, mon amour, il n’y a que les cerfs qui t’entendront crier.
- Tu ne vas pas me faire du mal.
- Non, je vais seulement être très cruel, ma caille
Je ferme les yeux, attendant le premier coup de badine.
Rien.
Pour marquer mon impatience, je fais rouler mon cul.
Puis une douce caresse, sur mes fesses, comme un plumeau, suivie d’une sensation de picotement de plus en plus intense. D’un coup, je comprends. Des orties. Pierre est en train de me peindre le croupion avec des orties.
Puis je sens comme plumeau sur ma ...