Parcours d'un jeune homme bisexuel
Datte: 21/04/2019,
Catégories:
hh,
hotel,
volupté,
préservati,
hdanus,
hgode,
hsodo,
Partouze / Groupe
Auteur: Jeune homme bi, Source: Revebebe
Si mon attirance pour les femmes ne s’est jamais démentie, j’ai également, dès mon adolescence, fantasmé sur des relations sexuelles entre hommes. Cependant, je ne me suis jamais senti véritablement « gay » : je n’ai jamais pris de plaisir à embrasser un homme, et même la présence d’un très beau mec à mes côtés ne m’excite pas. En d’autres termes, c’est l’idée du rapport homosexuel qui m’excite et non pas les hommes en eux-mêmes. Dès le début, mon fantasme homosexuel s’est cristallisé autour de l’idée de jouer le rôle de la femme, de me sentir possédé et dominé.
Lors de mes séances de masturbation, seul dans ma chambre d’adolescent, il m’arrivait fréquemment de passer mon doigt autour de mon anus, de l’y enfoncer le plus profondément possible et d’y prendre beaucoup de plaisir. Ma chaise de bureau était en bois et ses pieds arrondis m’ont ensuite donné l’idée de l’utiliser comme substitut d’un sexe d’homme. Je m’amusais à sucer le pied de la chaise puis, une fois celui-ci bien enduit de salive, je me l’enfonçais dans le cul tout en me masturbant. Sa taille était plus que respectable et, après quelques semaines de ce traitement, mon anus était devenu souple et je n’éprouvais plus aucune douleur. Cependant, tant que je suis resté chez mes parents, je n’ai jamais franchi le cap et ma sexualité est restée purement hétérosexuelle. Ce n’est qu’à partir de vingt ans, alors que j’étais étudiant à Paris, que j’ai véritablement cherché à réaliser mon fantasme.
J’ai débuté, comme ...
... beaucoup j’imagine, par utiliser les messageries téléphoniques. Très rapidement, beaucoup d’hommes m’ont fait des propositions, mais, je me suis contenté au début de ces discussions, qui se terminaient invariablement par une bonne masturbation. L’excitation retombée, je me disais que je n’oserais jamais passer à l’acte. Mélange de culpabilité et de peur (c’était l’époque où l’épidémie de sida était à son apogée), mes hésitations trahissaient mon incapacité à assumer pleinement mes désirs. Petit à petit cependant, j’ai pris plus d’assurance et ai commencé à me sentir « prêt » pour une première expérience.
Fantasmant avant tout sur les hommes d’âge mûr, je suis passé à l’acte pour la première fois avec un homme de 50 ans, marié, qui me reçut chez lui en l’absence de sa femme, un après-midi. Il me fit entrer dans son salon et, voyant sans doute ma gêne et comprenant que je m’apprêtais à tout arrêter là et à m’enfuir, il me demanda d’un ton autoritaire de me déshabiller. Une boule dans l’estomac, j’obéis et me retrouvai nu devant lui, honteux de lui montrer que, malgré ma peur, je bandais déjà à moitié. Toujours très directif, il me fit mettre à quatre pattes sur son canapé, et commença à me lécher l’anus. Bizarrement, ce déroulement très rapide me satisfaisait, car je ne cherchais pas des caresses, encore moins des embrassades, je voulais du sexe et rien que du sexe. Le contact de sa langue me fit presque jouir tellement j’étais excité ; je me sentais complètement abandonné à ...