Lunatique (2)
Datte: 21/04/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mr.523, Source: Xstory
Le lendemain matin, à l’aube, je me lève en vrac, avec un souvenir amer et étrange de la veille.
Kate est là dans la kitchenette, toujours le même t-shirt mais elle a changé le bas, un tanga rouge vif à dentelles dévoilant le bas des fesses.
Ce n’est pas possible. Elle doit faire cela intentionnellement pour m’exciter !!
Je suis suffisamment réveillé pour admirer et fantasmer sur cette petite brune aux cheveux ondulés, à la petite poitrine parfaite, et au petit fessier bien bombé et musclé.
Elle se retourne, et enchaîne :
— Bonjour, ça va ? Tu fais quoi là ?
— Salut, je te matais le cul (oui j’ai moins de filtres au réveil)
— Et il te plaît ? demande-t-elle en me tendant un café fraîchement préparé
— Oui assez...
Je la fesse avant de m’asseoir sur le canapé avec elle. L’ambiance est froide, le malaise de la veille est palpable. Je me lance :
— Tu sais, pour hier soir...
— Non, ne t’inquiète pas : c’est oublié, ce n’est pas grave.
— Oui, mais j’ai changé d’avis.
— Comment ça ?
— Hier soir, tu as proposé de me branler, et aujourd’hui j’accepte...
— Haha, arrête tes conneries, dit-elle avec un ton enjoué.
— Je ne rigole pas (avec un air très sérieux).
— J’ai dit ça parce que tu semblais blessé.
— Oui j’étais chaud et tu m’as coupé. Alors, aujourd’hui, tu devras être gentille et faire ce que je dis pour te faire pardonner.
— Vraiment (elle réfléchit longuement) ?
— Oui.
— Hmmm... Je n’aime pas trop ça, je te le ...
... dis... Mais OK... Une petite masturbation rapide...
Je ne bouge plus et ne dis plus rien. Elle me baisse le caleçon en tirant vers le bas.
Alors, assise à ma gauche, sur ce grand canapé rouge, les jambes pliées sur le côté avec les genoux vers moi, café à sa main gauche, elle m’empoigne le chibre de la main droite.
Elle commence à l’étirer de la base au gland, le décalottant par la même occasion. Peu à peu, il gonfle dans sa main, laissant apparaître mon large bulbe tout gonflé.
— Oh !! Elle est effectivement aussi grosse que je l’ai sentie hier soir, dit-elle avec léger sourire sur son visage.
Elle semble ne pas savoir si elle doit stopper ce moment où l’apprécier. Elle espère que j’aperçoive sa gêne et lui dise d’arrêter.
Mais je préfère lui laisser cet espoir en la regardant silencieusement par-dessus mon café. J’apprécie intérieurement de voir sa tête quelque peu renfrognée.
Sa petite main monte et descend sur ma bite, sans totalement la cercler. Puis elle s’arrête et me regarde en souriant, comme pour dire « Bon, allez, la blague a assez duré » et me faire comprendre qu’elle ne me branlera pas jusqu’au bout.
Quelque chose en moi change à cet instant. À peine nous lâchons les cafés, je l’attrape sèchement par le bras pour la faire descendre du canapé. De l’autre main, je jette un coussin à mes pieds.
— Viens te mettre là, lui dis-je brusquement en pointant l’emplacement.
Alors qu’elle est contrainte physiquement de se mettre sur le coussin à mes ...