1. Et à la fin, on se mélange !


    Datte: 20/04/2019, Catégories: fh, grp, inconnu, grosseins, revede, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Utabitch, Source: Revebebe

    ... l’en dissuada.
    
    Louise accepta avec une condescendance bienveillante le désir des autres joueurs et retira, très lentement, son chemisier. Ensuite, les yeux baissés, elle dut retirer tout aussi lentement son soutien-gorge, révélant à tous ses deux beaux seins couronnés par une belle aréole sombre, puis sa petite culotte d’enfant sage, ce qui accrut l’excitation de Marcel. Émue en voyant ses seins et son sexe, nus, exposés aux regards de tous, elle voulut confier son trouble à son mari mais celui-ci ne la regardait plus. Elle ne voyait plus que son dos, que sa nuque, caressée par les mains d’Odile, qu’il embrassait à pleine bouche, les mains caressant avidement les seins généreux qu’elle lui offrait…
    
    Louise attendait que Marcel prenne l’initiative. Elle voyait son corps exposé au regard concupiscent d’un homme, à son sexe qu’elle n’osait regarder que d’un œil, dont elle avait rêvé, qu’elle voyait tendu vers son ventre, prêt à s’y enfoncer… Et quand son mari se leva, prit Odile par la taille et, sans cesser de l’embrasser, l’emmena hors de la pièce, elle vit s’évanouir définitivement le peu de pudeur qu’il lui restait.
    
    Marcel ne put résister plus longtemps. En souriant maladroitement, parce que tout de même un peu gêné par la beauté du corps que Louise lui offrait, il se tourna vers elle et, couvant son corps de ses yeux brillants de stupre, il tendit les mains vers ses seins. Elles en effleurèrent les tétons, s’en emparèrent, les caressèrent avec délicatesse avant de ...
    ... les empoigner doucement, comme si elles craignaient de les blesser, de les briser. Louise ferma les yeux, encore sous le coup de l’émotion, après avoir vu son mari nu embrasser, peloter, puis emmener une femme nue vers leur chambre. Elle fut agréablement surprise par la délicatesse des caresses de cet homme qu’elle aurait cru plus fruste.
    
    Louise, ouvrant à moitié les yeux, jeta sa vertu par-dessus les moulins, se tourna vers Marcel qui s’empara de ses lèvres, pour un baiser de soudard raffiné. Louise sentit sa bouche pénétrée par une langue agile, avide, pendant que des mains fébriles se régalaient au contact de ses seins, qu’il commençait à exciter. Dans le miroir mural, Louise se voyait nue, pelotée, tripotée, par un homme aussi nu qu’elle, au corps massif. Elle osa le toucher, prendre dans sa main fine le sexe, bandé, dur, que le désir pointait vers elle. Elle se surprit à le comparer au sexe de Rémy… Le sexe de Marcel soutenait la comparaison, mais était bien différent…
    
    Pensant que Marcel finirait par emmener Louise dans la chambre d’amis, Rémy guida Odile vers la chambre conjugale, sans cesser de l’embrasser et de la lutiner. Sans séparer leurs lèvres, ils roulèrent sur le lit et Rémy entreprit de s’intéresser (enfin !) à la chatte de sa partenaire. L’une de ses mains lâcha le sein qu’elle caressait pour se poser sur la toison, courte et taillée, puis sur le clitoris qu’elle se mit à titiller, puis s’enfonça dans son vagin. Aussitôt, à la grande surprise de Rémy, ...