Agnès
Datte: 20/04/2019,
Catégories:
fh,
fhhh,
voisins,
grossexe,
vacances,
fsoumise,
Oral
pénétratio,
fsodo,
policier,
Auteur: Jmg55, Source: Revebebe
... immense pitié pour elle. Tout ce qu’elle m’a fait subir ce week-end est oublié. Je l’aime et je me reproche de n’avoir pas été là pour la protéger. Avant de réaliser ce que je fais je prends mon téléphone et je l’appelle. Je la vois à l’écran se relever, prendre son téléphone. Elle doit voir mon nom sur le téléphone. Elle hésite puis décroche. Je n’ai rien préparé mais tout sort tout seul.
— Agnès, j’espère que je ne te réveille pas… Je voulais te dire… ce week-end cela ne s’est pas très bien passé entre nous, je suis désolé. Je voudrais que tu saches que je t’aime passionnément. J’ai besoin de toi et de te voir heureuse. Dis-moi ce que je dois faire pour cela… je n’aime que toi ma chérie.
Son ton est aussi froid que le matin et ma tirade ne l’a pas émue le moins du monde…
— Tu me réveilles pour me dire ça ? Tu es… Je suis très heureuse… Laisse-moi dormir.
Elle raccroche mais mes caméras et mes micros me la montrent toujours. Et en posant son téléphone sur la table de chevet elle ajoute, pour elle-même. « Je n’ai pas besoin de toi. Salaud. »
Je suis resté plus d’une heure, sans bouger à la regarder dormir, paisiblement. Visiblement n’importe qui peut pousser la porte de notre maison et la sauter. Sauf moi.
Le manque de sommeil, le désespoir, me rongent et je deviens, vis-à-vis de mes collègues et de mes clients, brutal et agressif. L’un de ces derniers a reçu deux claques de ma part ce qui ne l’était jamais arrivé. Il l’a pris assez bien et m’a dit :
— ...
... Monsieur Joss, soyez pas aussi branque que vos collègues. Vous avez des problèmes. Je peux vous aider ?
Avant d’ajouter :
— C’est une histoire de femme, hein ?
Le bonhomme est sympa, je me suis excusé et, grand seigneur, il m’a pardonné.
— On vous connaît, monsieur Joss, vous n’êtes pas comme ça d’habitude.
Je continue à relever mes enregistrements, mais il y a un changement. Le passage du voisin lundi a été bref. Il s’est enquis de moi.
— Il ne t’a pas touchée ?
— Non, rien, il attend toujours. Il ne comprend rien. Il va recommencer la semaine prochaine.
— C’est ça qui est drôle. Tu te prépares pour ce soir ? Je te veux parfaite.
— Je serai comme tu veux. Ils seront contents, dis-moi que tu m’aimes.
— Je veux être fier de toi, je veux que tu sois la plus jolie petite pute du pays…
— Je ferai tout ce que tu voudras. Dis-moi que tu m’aimes…
— Tu es belle, surtout depuis que tu as maigri, tu es parfaite comme cela mais il faut continuer, hein ? Tiens un cadeau pour ma poupée.
Le mec lui a glissé quelque chose dans la bouche et est parti. Plus rien de la journée. Il est venu la chercher le soir. Elle est revenue, seule, au petit matin. Je l’ai vue marcher lentement comme quelqu’un de très fatigué. Elle s’est effondrée sur le lit. J’ai cru entendre un sanglot mais je n’en suis pas certain.
Lui est venu à son heure habituelle. Il est entré dans la chambre, l’a secouée sans trop de ménagement. Dès qu’elle s’est aperçue de sa présence, elle s’est levée ...