1. Une mère admirable; (1)


    Datte: 19/04/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: valeriane, Source: Xstory

    ... sans s’en rendre compte le baiser. Cloé, entre chaque baiser, lèche le cou de sa maman, ses mains s’activent sur les seins généreux, elle finit par glisser ses mains sous le t-shirt et dégrafe le soutien-gorge.
    
    Lise cesse le baiser.
    
    — Mon Dieu, qu’est-ce qui nous prend mes chéris, nous devenons fou ?
    
    — Laisse-toi faire maman, nous voulons que ton bonheur !
    
    — C’est pas moral ça ! rétorque Lise.
    
    — Pourquoi, tu ne nous aimes pas ?
    
    — Oui même de trop, c’est pas ça, c’est de l’inceste mes chéris, nous ne pouvons pas faire ça !
    
    Ryan plaque sa main sur la jupe à hauteur de la chatte de sa maman.
    
    — Je suis sûr que tu en as envie, et que tu mouilles maman !
    
    — Vous êtes des monstres !
    
    Cloé triture les bouts sensibles de sa maman, les coquins doublent de volume.
    
    — Oui maman, Ryan a raison, tu en as envie, laisse-toi aller !
    
    La main de Ryan passe sous la jupe, et frotte la vulve, la culotte de sa maman s’humidifie rapidement, un doigt pousse sur le fin tissu, il entre doucement dans le temple noyé.
    
    — Mon Dieu, Ryan, cesse je t’en prie, c’en est trop !
    
    — Lâche- toi maman ! incite Cloé.
    
    Deux doigts glissent sous la culotte, et s’enfoncent doucement dans l’antre trempé.
    
    — Mon Dieu Ryan arrête, je n’en peux ...
    ... plus !
    
    Les doigts s’agitent en elle, Lise grogne, elle craque.
    
    — Oui mon chéri, continue continue !
    
    Cloé relève la jupe de sa maman et palpe le fessier imposant, ses doigts écartent la culotte et taquinent l’anus qui palpite. Un doigt s’enfonce dans la gaine étroite, comme aspiré par le rectum affamé. Lise pousse un râle de Plaisir.
    
    — C’est trop bon, vous me faites mourir mes amours !
    
    Les doigts fouineurs fouillent, les orifices qui longtemps ont été délaissés. La culotte est trempée, Ryan propose de la retirer. Rapidement, elle tombe sur le sol, les deux enfants reprennent Possession des lieux, les doigts s’activent et s’enfoncent de plus en plus profondément. Lise gémit comme une bête, elle mouille de plus en plus, elle serre les dents, se cabre et envoie un puissant jet de cyprine.
    
    — Vous êtes des monstres, mais je vous aime !
    
    Les trois protagonistes retirent leurs vêtements, les deux enfants regardent avec insistance les formes généreuses de leur maman. Lise se place sur le canapé, Cloé lui écarte les jambes et plaque sa bouche vorace sur la vulve dégoulinante de cyprine. Elle aspire le jus suave qu’elle avale goulûment, Lise appuie sur la tête de sa fille :
    
    — Oui oui Cloé donne du plaisir à maman enfonce bien ta langue ma chérie ! 
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