Mûres53/vieille domina.veut encore ma bite
Datte: 19/04/2019,
Catégories:
Mature,
Auteur: langauchat, Source: xHamster
Contre toute attente, Mireille, la vieille pute dominatrice ne s'était pas contentée de branler sa motte bien grasse pendant que je lui racontais mes histoires en m'astiquant la bite.
Elle ne m'avait pas seulement dit:
"Regarde comme je mouille avec tes récits de cochon, tu vois ce que tu me fais? Petite pute, tu l'as bien baisée, la vieille Brigitte,...tu fourres ta grosse bite dans le cul des vieilles dames, tu les fais couler comme moi, pas vrai petite pute?"
sur son ordre, je m'étais levé, et debout devant elle, la grosse cochonne énergique aux cheveux courts de matrone autoritaire s'était pliée en deux, ses gros nichons touchant presque ses genoux, pour m'octroyer une fellation en plein décalage avec son comportement autoritaire et méprisant. Car elle me gâtait, la salope, sa langue faisait des courbes gracieuses sur mon gland, comme si elle voulait se donner du mal pour me faire jouir.
En réalité, c'est pour son propre plaisir qu'elle cherchait à m'entendre gémir lorsqu'elle m'aspirait goulûment le membre avec détermination, avec une efficacité d'ouvrière qui ne fait pas les choses à moitié.
Peut-être qu'à force d'humilier les hommes, avait-elle besoin pendant quelques minutes de se sentir elle-même dans la peau de la salope qui se met au service de ce gentil jeune homme qui, tout habillé, dans un fauteuil en face d'elle, vient de la faire mouiller avec sa grosse queue dressée hors de son pantalon, et surtout avec ses histoire qui de vieilles enclumes, ...
... de vieilles suceuses en chignon.
Je me voyais gravir les marches de cette maison humide et vétuste, la maison des putes en vieille ville. Il n'y pas plus d'une semaine, j'étais nu sur la grosse maquerelle et je jutais dans ses formes grasses, et maintenant je suis déjà de retour. La séance va-t-elle aussi bien se dérouler?
J'étais un peu fatigué, il faisait froid dehors. En fait, je ne savais pas quand j'aurais l'occasion de retourner dans cette ville. Je m'étais décidé: si je ne retourne pas maintenant chez Mireille, je n'y reviendrai pas avant longtemps. Ma queue n'était pas très vigoureuse car je m'étais branlé la veille abondamment. Tant pis, me disais-je, elle est tellement cochonne, elle va bien réussir cette fois encore à m'exciter avec son obscénité forcenée.
Il faut dire que rien ne m'excite plus qu'une vieille dame qui sort de toute réserve, me regarde avec des yeux fixes de prédatrice en passant un bout de langue obscène sur ses lèvres, qui se touche entre ses cuisses potelées et relevées sur les accoudoirs de son fauteuil en cuir pour finalement m'inviter à "lécher maman", à "fourrer ma bite dans maman, qui a envie...", et qui hurle des obscénité pendant que je m'enfonce en rebondissant sur ses formes maternelles.
très cordiale, très souriante, elle m'invita de nouveau à prendre place dans un fauteuil en face d'elle. De nouveau, notre conversation s'engagea, volontairement retenue pour créer un contraste d'autant plus excitant lorsque jailliraient les ...