1. Soirée non prévue


    Datte: 19/04/2019, Catégories: fh, fplusag, extracon, inconnu, piscine, pénétratio, Humour Auteur: Michèle1313, Source: Revebebe

    ... baigner ?
    — Oui, bien sûr.
    
    N’importe quoi encore. Mais qu’est ce que je fais, je le cherche, à force ! C’est dur à dire « non, je n’ai pas nettoyé la piscine » ? Ou encore « elle est trop froide » ? Mais non, je réponds oui.
    
    À peine le temps de prendre les glaçons, le whisky, deux verres, et j’entends un plouf dans l’eau. Il n’a pas traîné pour se jeter à l’eau. Merde……… J’espère qu’il ne se baigne pas nu. Mais non quand même, il n’oserait pas. Je reviens avec le plateau, et m’assois à la terrasse. Il est toujours dans l’eau. Ouf, il a gardé un caleçon.
    
    — Elle est super-bonne, vous ne vous baignez pas ?
    
    Et puis quoi, encore ? J’y avais pensé en rentrant ce soir, mais seule. Maintenant avec cet énergumène dans l’eau, faut pas pousser le bouchon trop loin. C’est assez bizarre, je suis là, un quasi-inconnu dans ma piscine, à attendre qu’il en sorte pour prendre un verre. Merde, ça commence à me plaire, comme situation !
    
    — Non, non, je n’ai pas envie.
    — Vous devriez, c’est vraiment super-agréable
    — Le whisky est prêt !
    
    Là au moins, il a compris que je ne vais pas y aller…
    
    — J’arrive.
    
    Oui, c’est ça, tu sors de la piscine, tu bois ton verre, et tu rentres chez toi. Ça y est, il sort, et je le regarde. Il est pas mal en caleçon, ruisselant d’eau, un corps de sportif, mais pas trop quand même, imberbe. Tu n’as plus qu’à lui dire tant que tu es ! Oui, il est pas mal vraiment….mais vraiment moi, je me mettrais des baffes parfois.
    
    — Je peux m’asseoir ...
    ... mouillé, sur la chaise, là ?
    — Oui, bien sûr, pas de problème. Un glaçon dans le verre ?
    — Oui, avec plaisir
    
    De près, il est beau. Il me regarde et me sourit. Je lui rends ce sourire.
    
    — Alors, ça fait du bien ?
    — Ah oui, super, merci encore.
    — Y a pas de quoi, elle est là, c’est pour être utilisée.
    
    Il est assis, a pris son verre, s’allume une cigarette, m’en propose une que j’accepte. Je me surprends à le regarder, enfin à le détailler. Bon c’est net, il me plaît. Ça fait maintenant un quart d’heure qu’il est là, et j’ai beau me dire que c’est n’importe quoi, rien à faire, il me plaît.
    
    Il parle maintenant de ce qu’il fait dans la vie, me questionne. Je vois bien que parfois il me regarde plus fortement, parfois me déshabillant presque du regard, son regard s’attardant sur ma poitrine. Celle-là, plusieurs fois j’ai voulu la cacher : 95 D, c’est gros, et parfois j’avais l’impression que les hommes ne voyaient que ça et jamais mes yeux. En fait, tout le temps, les hommes aiment ça, je ne sais pas pourquoi mais c’est comme ça. Maintenant je m’y suis habituée, mais là je sens son regard sur ma poitrine et ça me fait frissonner.
    
    Il a l’air à l’aise, là, en caleçon. Ça ne le gêne pas. Moi non plus : il a un corps agréable à regarder. Il s’étire un peu, tournant sa tête vers la maison voisine, et moi je fais quoi ?? Oui, je le regarde… il bande. Je ne l’avais pas vu en discutant, mais là, profitant de son regard parti ailleurs, je le vois. C’est moi qui lui fait ça ? Il ...