Le trou (1)
Datte: 18/04/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: luth769, Source: Xstory
— Un jour, tu ne seras qu’un trou”. C’est que mon mari m’a dit un jour, soit disant l’un de ses fantasmes. Il rêve que je ne sois qu’un récipient à foutre, que je prenne du plaisir ou non. Je lui avais, à l’époque, tout de suite dit non. Les années ont passé et je me suis épanouie sexuellement. J’ai accepté de me faire caresser par une femme, de me laisser filmer et photographier pendant nos ébats et de me faire sodomiser. La plupart de ces choses m’ont procuré du plaisir.
Voyant cela, mon époux s’est mis à construire une petite cabane dans le garage, chose bizarre puisque nous n’avions pas d’enfants. Un soir, son chantier se termine. Je vois une cabane carrée à 3 murs, une fenêtre sur le mur centrale et une planche à l’intérieur, sous la fenêtre, qui faisait toute la largeur de la cabane. J’ai commencé à me moquer de mon mari, lui expliquant que les cabanes ne sont pas comme ça. Il m’invite depuis l’extérieur de la cabane à passer par la fenêtre. Pour lui faire plaisir, je passe tout le haut de mon corps, mais lui signale que je ne peux pas passer les jambes, la fenêtre est trop petite. Mon ventre et ma poitrine sont sur la planche à l’intérieur, il y a même un petit rembourrage pour ne pas se faire mal. Ma tête quant à elle est dans le vide. Il arrive devant, et doucement me prend un poignet et l’attache au bord du mur, puis il fait de même avec le second. Et voilà que je ne peux plus sortir de cette ouverture.
Je le sens passer derrière moi, mais je ne peux rien ...
... voir, impossible de me retourner. Je le sens écarter mes jambes et attacher mes chevilles aux coins de la cabane.
Maintenant, je comprends, mon filou de mari a construit un jeu sexuel, pas une cabane. “Alors qu’en penses-tu ?” me demande-t-il. “Pas mal. J’enfilerai une tenue sexy la prochaine fois et on pourra s’amuser.” Il me sourit et me dit que le jeu commence maintenant. Il ouvre sa braguette et sort son sexe. Il s’approche de moi. J’ouvre la bouche pour accueillir son membre. C’est lui qui fait le rythme puisque je ne peux pas bouger. Il accélère et enfonce un peu plus. D’un coup, il me saisit la tête, s’enfonce au plus loin et fait des mini-va-et-vient dans le fond de ma gorge. Je ne peux plus respirer et j’ai des haut-le-cœur. Il sort aussi vite qu’il était entré. Je respire un grand coup, crache au sol les glaires qui sont remontées. Il y a un saut par terre qui récupère ce que je recrache, l’enfoiré avait tout prévu. Il passe derrière moi et coupe au ciseau ma jupe et mon string.
De son côté, il doit avoir une vue sur mon cul nu, fesses écartées, laissant apparaître clairement mon minou et mon anus. Il me fait un cunni comme je les aime. Sa langue s’occupe de mon bouton, et doucement, c’est 2 doigts qui s’immiscent dans mon intimité. Quelqu’un sonne à la porte. “Bouge pas, je reviens !”. Bouge pas, je reviens, où veut-il que j’aille ? Je suis entravé sur cette cabane et tout le bas de mon corps est dénudé.
Je reconnais la voix d’Adrien, un bon ami. Ils discutent ...