Mona Fontaine
Datte: 18/04/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
grossexe,
douche,
ffontaine,
Oral
f+prof,
Auteur: Adam Green, Source: Revebebe
Dix jours de classe découverte ! Oui, dix jours à accompagner des mômes qui, pour certains, n’avaient jamais vu la mer. Le ghetto à la plage, sacrée bonne idée ; et moi dans tout ça ?
Je m’attendais au pire. Dix jours d’abstinence. J’avais quelques espoirs. Ces espoirs s’appelaientanimatrices. Et j’ai très vite déchanté. La première avait 19 ans, jolie, oui, mais aucun sex-appeal. La deuxième était visiblement en couple avec un autre animateur. Les deux autres avaient la barbe et s’appelaient Soulaymane et Abdoulah. Mignons quoi qu’un peu gros, ils n’étaient pas du tout mon style…
J’ai eu recours aux hautes technologies de l’amour,adopte un mec.
J’ai fini par trouver Mona, 23 ans, Perpignan. Elle est arrivée sur ma page Facebook. Deux trois photos, un torse bien dessiné, ça fait toujours son effet même si c’est ringard à mort ! Je lui ai vite proposé de passer me voir dans ma prison dorée. Elle n’a pas tout suite accepté. Elle voulait des assurances : c’est quoi ton nom de famille ? Tu travailles où ? Je vais te googueuliser la gueule, tu vas voir…
Une fois que madame la commissaire a recoupé ses infos sur moi, elle était partante… J’ai commencé à recevoir des photos d’elle en soutif, en culotte et je lui ai répondu par une photo de mon chibre. Un classique des années 2000. Là encore, elle était suspicieuse, l’inconnue, elle me croyait pas…« C’est pas le tien ! » Une petite conversation « Skype » a rétabli la vérité virtuelle. Conclusion : j’avais une grosse queue ...
... et elle voulait bien venir.
Elle est arrivée à 22 heures, juste avant le coucher du soleil, en plein ramadan, avec sa bouteille de blanc sous le bras. Sa petite voiture était pleine de cadavres de cigarettes, filtres en tout genre,chupa-chups et bouteilles de verre qui jonchaient les tapis de sol. Clairement, on n’allait pas baiser dans cette décharge…
Après une balade en bord de mer sous un vent de 100 km/h, on s’est réfugiés dans le centre de vacances. On a bu la bouteille sous l’œil circonspect des animateurs qui se demandaient bien qui était cette jolie fille avec le prof… Elle était belle et sentait bien meilleur que sa caisse. Des seins lourds pointaient sous son débardeur, une jolie bouche de suceuse, de belles jambes aussi… J’allais m’amuser. J’aime tellement les filles arabes, je vis pour les entendre geindre.
Une fois la bouteille terminée, on est allés dans ma chambre ou, devrais-je dire, ma cellule. Un lit d’enfant, une table en formica… que même Emmaüs, ils en voudraient pas ! Un lino d’un bleu douteux, une douche, des chiottes (attention ne pas confondre) et pas de fenêtre.
J’avais astiqué comme un dingue pour elle. Je voulais que ça soit propre au moins. J’avais installé un deuxième matelas. Les deux au sol, côte à côte, pour un peu de tendresse et surtout pour ne pas entendre les lattes sauter une à une. Ma collègue et amie était derrière ce mur en papier qui séparait les deux chambres.
Elle passe le pas de la porte. Je l’embrasse sur la nuque, ...