1. Fantasmes en vrac (1)


    Datte: 26/02/2018, Catégories: Divers, Auteur: sylbi, Source: Xstory

    ... du spectacle. Mon string ne retient que fort peu mon sexe à demi tendu. Puis j’enfile un short ; prenant mon temps là encore. Je recommence ce petit manège trois ou quatre fois. C’est tout juste si tu regardes ce que j’enfile. Comme je vais remettre une dernière fois mon pantacourt, tu murmures :
    
    — Caresse-toi.
    
    Mon sexe gonfle aussitôt à cette simple évocation. Je masse donc ma verge à travers mon string. Tout doucement et lentement. J’ondule un peu des hanches pour faire jouer le plug dans mon petit trou. Puis je sors ma tige dressée du string. L’excitation de ces dernières heures a laissé des traces. Je coule et mon gland est tout brillant de mon désir pour toi. Je me branle un peu plus vite. Hum, que c’est bon de le faire ici et devant toi !
    
    Autour de nous, nous pouvons entendre d’autres personnes qui, elles aussi, procèdent à quelques essayages. Même si je doute que ce soit aussi agréable et coquin dans leur cas.
    
    Avec regret, je cesse malgré tout ma masturbation. Inutile de trop faire monter la pression et de jouir trop vite. La journée et la nuit sont loin d’être finies. Une fois que j’ai réussi à me rendre présentable, ce qui n’est pas une mince affaire, je sors et tu prends ma place dans la cabine.
    
    Toi aussi, tu t’effeuilles et te rhabilles lentement. D’abord le haut, pour essayer quelques tee-shirts et tuniques. Tes seins sont toujours dressés : preuve que tu apprécies tout ce que nous faisons.
    
    Je t’encourage à demi-mot. Quelques « pas mal » ou « ...
    ... ça te va bien » ponctuent l’apparition de tes seins. Je remarque avec plaisir que tu profites aussi de chaque occasion pour les frôler ou les caresser rapidement...
    
    Puis c’est au tour de ta jupe de tomber par terre.
    
    Dans un geste plein de provocation, tu écartes les jambes et passes un doigt le long de tes nymphes. Je te vois frémir et mordre tes lèvres pour ne pas gémir sans doute. Tu me montres ton doigt, tout luisant de ton plaisir. Puis tu portes ton doigt à ta bouche et le suces langoureusement. Et je dois me retenir pour ne pas venir te prendre tout de suite et m’enfoncer en toi à grand coup de reins.
    
    Nouveaux essayages; et à chaque changement de tenue, tes doigts viennent se poser sur ton intimité. Puis après t’être habillée une dernière fois, tu retrousses ta jupe et te caresses sous mes yeux ébahis.
    
    Je ne pensais pas que tu pourrais aller si loin.
    
    Les yeux mi-clos, les lèvres serrées, tu fais aller et venir ton majeur dans ta fente visiblement trempée. Puis, toi aussi, tu t’arrêtes juste avant le plaisir. Peur d’être entendue ou bien désir de partager ton plaisir avec moi ?
    
    A toi aussi, il te faut quelques instants pour reprendre tes esprits. Nous ressortons des cabines en reposant quasiment tous les vêtements. J’en garde un que je tiens devant moi, histoire de dissimuler mon envie de toi. La vendeuse nous regarde avec un air indéfinissable. Je me demande à quel point elle est dupe, mais qu’importe. Je pense surtout à rentrer et à enfin te faire ...
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