Une initiation singulière
Datte: 16/04/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
voisins,
piscine,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
hdanus,
init,
Auteur: Ludo1227, Source: Revebebe
Des talons claquèrent soudain sur le chemin de pierre qui conduisait à la piscine. Je sortis brutalement de ma torpeur et la panique, terrible, m’envahit. Qui pouvait bien me rendre visite en milieu d’après-midi ? Depuis plus de deux heures, j’étais installé dans un transat, avec les oiseaux pour seule compagnie. La chaleur était si intense que je plongeais régulièrement dans la piscine afin de me rafraîchir. À l’extérieur, les rayons brûlants du soleil me séchaient en quelques secondes ; je n’avais donc bien évidemment pas pris de serviette. Surtout, j’avais laissé mes vêtements à l’intérieur de la maison et je ne portais pas de maillot de bain. Depuis deux ans que ma mère avait acheté cette villa, j’avais pris l’habitude de profiter de ses absences pour bronzer dans le plus simple appareil. Le fait de me baigner nu et de m’étendre au bord de la piscine sans le moindre carré de tissu suscitait en moi un trouble sans pareil. À chaque fois, je laissais l’excitation me gagner pendant des heures avant de me masturber enfin, lorsque le soleil venait à se coucher.
Mais ce jour là, je me maudissais d’avoir cédé à mon fantasme. Les pas se rapprochaient à vive allure. Me précipiter dans la maison aurait été inutile : le nouvel arrivant m’aurait forcément vu courir nu dans l’allée. Mon épouvante me paralysait. Au point que je ne parvenais même pas à dégrafer les élastiques qui maintenaient en place le coussin enveloppant mon transat. Je n’avais donc rien pour nous dissimuler, moi ...
... et mon embarras. En désespoir de cause, je me jetai à plat ventre sur le transat, au moment même où mon visiteur débouchait de l’allée.
C’était Nicole, notre voisine. Ma mère et cette brune plantureuse avaient sympathisé dès notre aménagement dans ce petit village du Lubéron. Toutes deux célibataires, elles passaient de nombreuses soirées ensemble. Ma mère la conviait souvent à dîner et, sitôt le repas achevé, alors que j’avais à peine quitté la table, les éclats de rire débutaient : Nicole racontait à ma mère ses multiples aventures de bisexuelle parfaitement assumée. Masqué par la porte de la salle à manger, je n’en perdais jamais une miette. Et de retour dans ma chambre, je me masturbais consciencieusement.
Tout en Nicole transpirait le sexe. Sa manière de se vêtir, notamment. Alors qu’elle s’approchait de moi, je vis qu’elle portait ce jour-là un tailleur gris perle sur un chemisier blanc. L’échancrure de ce dernier laissait largement entrevoir une poitrine d’une fermeté exemplaire pour une femme de 42 ans. Les talons aiguilles dont elle se parait chaque jour la grandissaient d’au moins 10 centimètres, ce qui lui permettait de franchir allègrement la barre de 1,75 mètre. Parvenue à mes côtés, cette femme d’une somptueuse élégance m’adressa un sourire désarmant et me lança de sa voix délicieusement rauque :
— Bonjour Ludo ! Tu vas bien ? J’en avais marre de travailler, alors j’ai décidé de bronzer un peu. Mais une fois arrivée chez moi, je me suis rendue compte que ...