Relations inavouables (2) - Histoires de Sexe

Relations inavouables (2)

Les jours passent, comme à l’accoutumée, Marc est très prévenant avec sa maman, il l’aide pour les tâches ménagères, faire les courses, etc. Mais à chaque occasion, le coquin lui caresse les mains, frôle son corps le plus possible, il ne cesse de lui sourire. La relation platonique très fusionnelle qu’elle entretient avec son fils change petit à petit. Les petits mots d’amour qu’il lui murmure à l’oreille ne laissent pas insensible. Mais lorsqu’il lui presse la main, ou lui donne des petits baisers sur la joue, ou dans le cou, son cœur bat plus rapidement.

En revenant de ses cours, Marc offre à sa maman un bouquet de fleurs. Il la regarde dans les yeux et lui dit:

— C’est pour la plus merveilleuse des mamans !

— Oh, merci mon chéri, c’est gentil ! qu’elle répond un peu émue.

Elle l’enlace et lui donne un gros baiser sur le front, elle reste serrée contre son corps un bon moment. Lui, lui passe ses bras autour du cou et pose ses lèvres sur les siennes. Inconsciemment, elle se laisse prendre au jeu, la langue de son enfant force sa bouche, les langues se nouent. Soudain, elle réagit et détourne la tête, en s’écartant légèrement de son fils.

— Mon Dieu, mais qu’est-ce que nous faisons ? murmure Lise.

— Je t’aime maman, je t’aime ! qu’il lui répond.

— Nous ne pouvons pas, c’est immoral mon chéri ! qu’elle rétorque un peu honteuse.

Il la reprend dans ses bras et la serre très fort, il tente de l’embrasser une nouvelle fois. Lise le repousse :

— Non ...

... Marc, cesse, je t’en prie !

— Ma petite maman, ne le prends pas mal, je suis fou de toi, j’en dors plus la nuit !

— Au fond de toi, je sais que tu me désires aussi !

— Je ne cesse de penser à toi, je vais même chercher dans le linge sale une de tes culottes pour me masturber, oui oui je suis fou, mais de toi !

— Tu dis n’importe quoi, Marc ! répond Lise, catastrophée.

Oui maman, je jouis dans tes culottes, je hume ton odeur avant de me masturber, puis je jouis intensément pour toi !

L’émotion est si forte que ses yeux se remplissent de larmes. Les révélations de son enfant la perturbent atrocement, elle ne sait plus quoi dire. La fuite est son seul recours, elle monte dans sa chambre et se jette sur le lit, cache sa tête sous l’oreiller pour sangloter. Marc dîne seul, prend sa douche puis un peu démoralisé, monte pour rejoindre sa chambre. En passant devant la chambre de sa maman, il ne peut s’empêcher de coller son oreille contre la porte.

Il entend de faibles gémissements, inquiet, il frappe à la porte... aucune réponse ? Il ouvre doucement la porte, sa maman a toujours la tête sous l’oreiller et pleure à chaudes larmes. Il s’assied sur le bord du lit, pose sa main sur l’épaule de sa maman et la masse doucement. Cela fait cesser les larmes de la femme qui fait battre son cœur de jeune adulte, Lise sort lentement sa tête de dessous l’oreiller et la tourne vers son fils, c’est en reniflant qu’elle lui dit:

— Tu vois dans quel état tu me mets avec tes ...