Aventures de vacances en Martinique (1)
Datte: 16/04/2019,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
... lit !
Deux minutes plus tard, le lit aux draps défaits nous accueillait pour une étreinte que je n’aurais pas imaginée quelques heures avant !
Unies dans un baiser sans fin, Malee était tantôt sur moi, tantôt c’est moi qui la dominais, nos jambes en ciseaux, nos pubis frottaient l’un contre l’autre... et ma cyprine ruisselait déjà...
J’avais envie de manger la chatte de Malee, aussi j’ai basculé sur son corps pour poser ma bouche sur son sexe imberbe... Que c’était doux et cela me renvoyait bien des années en arrière lorsqu’entre camarades du club de gym’ nous avions des relations homosexuelles...
La cyprine de Malee coulait aussi entre ses lèvres intimes et je m’en suis régalée pendant qu’elle allait chercher la mienne de ses doigts fins... Ce 69 saphique nous a amenés à la jouissance rapidement, et lorsque Malee a quitté la chambre, j’étais bien... prête à l’excursion que j’avais prévue à la Montagne Pelée.
Je suis repassée rapidement sous la douche et après avoir enfilé des vêtements confortables, mais légers, j’ai pris la route de la côté ouest jusqu’aux ruines de l’éruption de 1902 puis ensuite direction de la Montagne pelée dont j’apercevais le sommet entouré de quelques nuages.
Hélas, arrivée sur place, les responsables du site m’ont déconseillé d’accéder plus haut en voiture... les chemins étant peu sûr et boueux à la suite d’un violent orage tropical dont j’avais aperçu les nuages depuis la côte.
Cependant, guidée aimablement par un des ...
... responsables, j’ai pu apprécier la flore luxuriante qui se développait à cet endroit... Il m’a expliqué que la montagne Pelée était soumise à de basses températures qui atteignent parfois 8 à 10°C, à une importante nébulosité et à des précipitations qui dépassent les 10 mètres par an. La violence des vents de nord-est a imposé une forme ramassée aux arbustes, des feuilles épaisses et coriaces ou encore possédant une pilosité les rendant apte à survivre dans ces zones particulières, à la limite de la forêt tropicale et des savanes se développant plus haut vers le sommet. Il m’en citait quelques-unes en me montrant divers spécimens comme le fuchsia, le thym, l’ananas de montagne ou la myrtille des hauts. Il m’expliquait aussi qu’à la suite des éruptions du début du XXème siècle, certaines espèces s’étaient raréfiées comme les goyaviers de montagne qui étaient désormais cultivés sur des terres propices.
Ne pouvant gravir la Montagne Pelée jusqu’au sommet, j’avais eu un cours de botanique particulièrement intéressant, et je remerciai mon guide avant de redescendre vers Fort-de-France où j’ai dîné sur le port... La nuit était tombée depuis longtemps quand j’ai regagné Sainte Luce et ma chambre.
Le lendemain matin, Malee m’a apporté le petit-déjeuner, mais nous n’avons pas eu de nouvelle aventure coquine... J’étais relativement pressée, car j’avais un programme de visite assez chargé... Mon guide de la veille m’avait conseillé la visite du Jardin de Balata où je pourrais me promener ...