Les aventures d'un libertin: une nympho hors normes.
Datte: 16/04/2019,
Catégories:
fhh,
fhhh,
extracon,
cocus,
nympho,
fépilée,
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
69,
fgode,
fist,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
hgode,
totalsexe,
Auteur: Jeuxentreadultes, Source: Revebebe
... jours.
Elle n’avait pas l’habitude de se faire gâter autant ; elle, qui s’était habituée à revêtir le rôle de fournisseuse de plaisirs, avait gémi, crié, appuyé des mains ma tête contre son intimité, serré plusieurs fois ses cuisses en m’emprisonnant le temps de ses orgasmes. Je ne sais pas combien de fois elle jouit, mais visiblement c’était une grande première pour elle.
J’étais passé dans la chambre avant d’aller la chercher, et j’y avais déposé une bouteille de champagne dans un sac réfrigéré. Je débouchai la bouteille et nous trinquâmes à cette soirée qui avait si bien commencé.
Vous vous en doutez, coquine un jour, coquine toujours. Elle voulut goûter du sexe au champagne : elle me fit me redresser, et plongea plusieurs fois mon membre dans sa coupe avant de me sucer. Les bulles, la légère piqûre du froid et de l’alcool tranchaient avec la chaleur humide de sa bouche ; la sensation était sublime.
De son sac, qui s’était à demi renversé lorsque je l’avais poussée sur le lit, dépassaient les deux vibromasseurs que je lui avais offerts quelque temps avant, lorsqu’elle m’apprit qu’elle n’en n’avait jamais essayé. Enfin, pas des objets créés pour cette fonction. Elle avait essayé une brosse à dent électrique ; quelle idée ! J’avais donc acheté deux vibros, d’une même longueur d’une vingtaine de centimètres : l’un assez fin pour commencer, le second bien plus gros, un bon cinq centimètres de diamètre. Je m’en saisis, vérifiai l’état des piles, et lui demandai ...
... lequel elle voulait. « À ton avis ? » Bon, j’ai compris, le gros ! Je le glissai sans problème dans sa chatte toujours détrempée et mis directement les vibrations à fond.
Les verres furent vite déposés ; elle était allongée, je lui godais le vagin avec le gros vibro, le string toujours écarté (elle le garda durant toute la soirée, sachant combien j’aimais qu’une femme garde ses dessous pendant les ébats). Moi, j’étais agenouillé près de son visage ; elle me suçait avec douceur. Elle se saisit du vibro plus fin, le fit passer sur la langue, dans la bouche pour bien le mouiller, vu son humidité permanente, nul lubrifiant à portée. Elle cessa de me sucer, glissa le vibro sous moi, le présenta contre mes fesses, et son regard plongé dans le mien demandait « alors, tu en veux toi aussi ? ». Je ne répondis pas verbalement, mais lui fis comprendre mon accord en descendant et en m’enfonçant sur le vibro.
Elle me suçait, me godait le fondement. Je retirai le plus gros vibro de sa chatte, le plaçai contre sa rondelle et l’enfonçai d’un seul geste lent et continu dans son anus. Le jeu n’était plus « je te tiens, tu me tiens, par la barbichette » mais « je te gode, tu me godes, par le petit trou » (je sais, ça ne rime pas ; mais j’ai beau chercher, je ne trouve pas de mot en « ette » pour l’anus !).
Évidemment, elle eut vite fait de me faire jouir et j’explosai à moitié dans sa bouche, à moitié sur son visage. Pour me venger, je glissai trois doigts d’un coup dans sa fente, vite ...