1. L'été de mes 18 ans 23


    Datte: 15/04/2019, Catégories: Lesbienne Auteur: byJeunefilleperverse, Source: Literotica

    ... Philippe ahaner et je devinai qu'il était en train de se vider dans la chatte de Joséphine. A peine s'était-il retiré que je collai ma bouche sur son minou, l'amenant à l'orgasme tout en dégustant le sperme de Philippe qui avait un gout exquis.
    
    Nous allâmes ensuite nous rafraichir à la salle de bains, Joséphine et moi, tandis que Philippe récupérait un peu. Quand nous revînmes, il était avachi dans le canapé, le sexe encore à demi dressé. Nous nous agenouillâmes devant lui et nous mimes à lécher son gourdin et ses bourses. Il ne tarda pas à reprendre du volume. J'étais à nouveau très excitée devant cette superbe queue. Joséphine s'en rendit compte en passant sa main entre mes cuisses. Elle me dit :
    
    « Tu le veux, hein? vas y, empale-toi sur lui! »
    
    Je n'hésitai pas longtemps et l'enjambai, descendant lentement sur son pieu, tandis que Joséphine le suçait. Je la sentis écarter mes fesses et amener le gland contre ma vulve. Elle le frotta un moment puis le poussa en moi. Je gémis en retrouvant la même sensation de plénitude. Je me mis à le chevaucher laissant son sexe me prendre tout au fond. Puis je sentis Joséphine qui écartait mes fesses et qui glissait un doigt, puis deux dans mon petit trou. Je gémis plus fort. Joséphine continua à doigter mes fesses, ...
    ... puis elle approcha sa bouche de mon oreille qu'elle mordilla en me murmurant :
    
    « Tu veux qu'il te prenne par là? »
    
    « Oh non, il est bien trop gros! »
    
    « Tsss, tu vas voir! »
    
    Elle sortit le sexe de Philippe de ma chatte trempée et le pointa sur ma corolle. Philippe me prit aux hanches me forçant à descendre. Je poussai un grand cri en sentant son gourdin s'immiscer entre mes fesses. La douleur était très forte, mais je n'étais pas en position de résister. Centimètre par centimètre, le sexe de Philippe s'enfonça dans mon anus. Je sentis bientôt ses bourses contre mes fesses, signe qu'il était au fond. Je restai un long moment immobile pour laisser la douleur s'estomper, puis je me redressai doucement avant de redescendre m'empaler. Au bout de quelques va-et-vient, je commençai à y prendre goût, d'autant plus que Joséphine était collée contre mon dos et avait glissé sa main entre mes cuisses. Elle faisait rouler mon bouton entre ses doigts et je gémissais sans discontinuer. Philippe m'avait pris aux hanches et me forçait à la chevaucher de plus en plus vite. Il haletait de plus en plus fort et je sentis bientôt son sperme m'inonder le cul ce qui déclencha aussi mon orgasme.
    
    Nous étions tous les trois exténués et nous endormîmes dans le lit conjugal. 
«123»