1. Un nouvel employé


    Datte: 25/02/2018, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail grosseins, pénétratio, Auteur: Mons, Source: Revebebe

    Je suis en instance de divorce, cela fait un moment que je n’ai pas eu de relation sexuelle.
    
    Ça ne me manque pas plus que cela car je dois faire le deuil de mon mari. Je rêve encore de nos ébats torrides et en même temps pleins de tendresse, je sens encore la chaleur de ses mains sur moi, son sexe en moi et lorsque je regarde un homme, son visage s’interpose entre nous, j’ai l’impression qu’il me regarde, qu’il me juge… C’est moi qui ai voulu le quitter mais il a apposé son empreinte et je dois l’effacer. Je ne me sens pas encore tout à fait libre, j’ai des scrupules à regarder ailleurs.
    
    Mais un jour…
    
    Un nouvel employé est recruté. C’est un jour où il n’y a personne d’autre que moi au travail et je suis chargée de le recevoir. Je l’accueille. Il est bel homme, belle prestance, le genre fier et sombre, qui laisse présager un caractère bien trempé.
    
    Dès que nos regards se croisent, je devine qu’il se passera quelque chose entre nous, ses yeux verts brillent d’un éclat qui allume un feu en moi. Il y a un« je ne sais quoi », un déclic, imperceptible à l’œil nu, mais qui met mon corps en émoi. Je ressens des petits picotements au creux de mon ventre et bizarrement j’ai envie de le toucher, l’embrasser, le caresser. Je ne pense pas tout de suite au sexe, j’ai plus besoin de sentir sa peau contre ma peau, frotter mon nez dans ses poils.
    
    Nous nous présentons, je lui fais visiter les locaux. Je passe devant lui et je sais que je suis attirante avec ma mini-jupe, mon ...
    ... chemisier qui épouse mes formes pleines, mes gros seins. Je sens son regard posé sur mes fesses bougeant dans ma jupe serrée.
    
    Je l’installe dans son bureau et lui propose une boisson. Il accepte. Je vais lui chercher un café. Lorsque je lui ramène, j’hésite quelques secondes devant la porte, mais l’attrait est si fort que je ne résiste pas bien longtemps. Au diable la morale et mon appréhension, je respire un grand coup et entre.
    
    Il est là, m’attend debout près du bureau, me domine de sa grande taille. Ses yeux me déshabillent. Rien que son regard me donne des frissons, et là je ne pense plus à mon mari.
    
    Je ne baisse pas les yeux sous son regard brûlant et moi-même j’en fais autant. Je contemple son visage, sa taille haute, les quelques poils qui dépassent du tee-shirt, sa bouche sensuelle, ses mains.
    
    En regardant ses mains je sens mes joues rosir car je les imagine posées sur moi. Il me parle, mais déjà sa voix m’a envoûtée, une voix de baryton, elle caresse mes tympans et provoque de douces sensations. Mes hormones sont en ébullition, mon cœur s’emballe, l’agitation gagne tout mon être.
    
    Nous avons compris que nous sommes animés du même désir, pas besoin de mots, nos corps connaissent ce langage secret.
    
    Il me prend la cafetière des mains pour la poser sur une étagère et m’attire à lui pour un fougueux baiser. Nos langues se caressent, nos salives se mêlent et ne perdant pas de temps, il dégrafe mon chemisier et mon soutien-gorge.
    
    Ses mains commencent ...
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